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monfuturoscope
6 mars 2009

voyageurs du ciel et de la mer _ dossier

 

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PRESENTE AU TAPIS MAGIQUE DEPUIS 2004

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L'attraction...

Depuis la nuit des temps, les oiseaux et les mammifères marins évoluent dans des espaces de liberté. Plus l'espèce humaine se multiplie, se perfectionne, plus le territoire des autres s'amenuise. Notre conquête est absolue, sans partage et menace la survie de ces "autres habitants". Tel est le message de Voyageurs du Ciel et de la Mer.
La salle de projection unique au monde est constituée de deux espaces superposés, séparés par un plancher de verre. Dans la partie supérieure, 250 fauteuils font face à un écran de 672 m². Dans la partie inférieure, un second écran incliné de 748 m² s'étend sous les pieds des spectateurs. Deux films sont projetés simultanément par deux régies équipées du procédé IMAX. Le spectateur ressent un véritable sentiment de liberté en volant avec les oiseaux, au dessus des baleines et des dauphins...

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La salle avec un écran à 25m sous pied

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La pré-salle

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Le tapis magique

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L'avis...

Un film émouvant et spectaculaire à la fois. Une approche des animaux comme on en voit rarement et qu'on ne se lasse pas de revoir. Une salle unique unique au monde avec un écran géant en face et un autre qui descend à 25 mètres sous nos pieds d'où le nom du pavillon : Le Tapis magique. En plus d'être spectaculaire, ce film sensibilise à l'environnement en dénonçant quelques gestes qui détruisent la planète.

1. Qualité des images : du grand art - 1pt
2. Effets spéciaux : aucun et c'est ça la magie du film - 1pt
3. Musiques : très belles et colle parfaitement au film - 1pt
4. Dialogues : peu mais suffisant pour dénoncer les gestes allant contre l'environnement, un message fort - 1pt
5. L'histoire :  les migrateurs du ciel et de la mer, pour tous les âges, un thème bien trouvé pour s'amuser tout en se divertissant - 1pt
6. Durée : 16 minutes, juste ce qu'il faut pour ne pas faire une attraction avec des horaires - 1 pt
7. Effets extérieurs : la salle est faite pour que les visiteurs volent sur les images - 1pt
8. Action : on suit les animaux alors l'action est un peu au second plan - 0 pt
9. Le pré-show : dans cette attraction, on a la possibilité de voir voir défiler la pellicule imax, surprenant -
1pt
10. Thématisation de l'attraction : une file d'attente décorée sur les images du tournage, et une pré-salle avec le making off ainsi que des citations de grand écrivains - 1 pt

NOTE (SUBJECTIVE)   :    9   /   10

 

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3 mars 2009

danse avec les robots _ dossier

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Source : http://nv.parkothek.info/dossier/00000367-et_bien_dansez_maintenant.html

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AU PAVILLON DES ROBOTS DEPUIS 2006

L'attraction...

Le par a investi dans une nouvelle attraction à sensations pour encore diversifier son offre et rester dans la course des innovations, synonymes de survie pour les parcs de loisirs. Le Futuroscope souhaitait acquérir 10 Robocoasters fabriqués par la firme allemande KUKA. Véritables petits bijoux technologiques, chaque Robocoaster peut embarquer 2 passagers : une fois attachés les visiteurs sont littérallement "secoués" dans tous les sens, selon une séquence de mouvements qu'ils peuvent eux-même définir au préalable, dans la zone d'attente avant d'embarquer.


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Pub Futuroscope 2007 - Expérience n°04


Danse avec les Robots - le making of

Cette technologie de simulation et de divertissement est grandement inspirée des bras manipulateurs situés le long des chaînes de montage automobile.(KUKA en est d'ailleurs le premier fabricant mondial pour BMW, Porsche, Audi...). Grâce à ses six axes rotatifs, le robot répondant au doux nom de KR500 crée des combinaisons de mouvements et de sensations illimitées, et peut soulever jusqu'à 500 kg de charge. Seul hic à toute cette belle mécanique : son coût et son débit de visiteur horaire. Sur le site officiel du fabricant, on ose à peine évoquer une fourchette de 20 à 2000 personnes par heure. La réalité est toute autre : avec 10 Robocoasters en fonctionnement simultané, l'attraction ne dépassera pas les 500 personnes par heure, ce qui reste très faible. A titre de comparaison, des attractions de type flat-ride (attractions tournantes ou pivotantes se rapprochant le plus du Robocoaster par le niveau d'investissement) draine jusqu'à 1000 personnes par heure. Il reste à évoquer l'investissement : 300 000 Euros par bras. La facture totale de la nouvelle attraction au nom de code "Danse avec les Robots" s'élèvera à 7 Millions d'Euros.

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Parlons du thème. Comme l'indique son nom, le Futuroscope voit dans l'avenir. Et l'avenir ne serait-il pas tourné vers la conquête spatiale ? Le constructeur propose quelques dessins d'illustration et un scénario thématisé "Voyage vers la planète Mars" où les Robocoasters seraient des machines d'entraînement pour les visiteurs-cosmonautes. Dans un registre plus proche du Futuroscope et de l'image, on se plaît à imaginer un nouveau genre de simulateurs avec projection hémisphèrique d'un film autour de chaque bras...

Sur ces hypothèses, il faut souligner l'originalité de cet investissement. Le Futuroscope lorgne pour la première fois depuis 5 ans vers un produit à la fois divertissant et très spectaculaire. La participation financière du département de la Vienne s'élève à 11.6 Millions d'Euros pour 2005, auxquels il faut ajouter 4.50 Millions d'Euros pour la modernisation du parc. Contre sa baisse de popularité, le Futuroscope semble gagner petit à petit son "bras de fer", le financement public aidant.

 

La file d'attente

Aucune thématisation spatiale comme imaginée précédemment, mais le Futuroscope aborde la thématique des robots tout au long de la file d'attente de l'attraction, et exploita ce thème pour sa saison 2006.
La file d'attente se divise en 3 parties : la première partie s'attarde sur l'historique des robots illustré par des animations intéractives dont tout le monde pourra profiter, des illusions d'optique, des coupes de robots, la deuxième partie est consacrée à l'univers des robots dans la littérature et le cinéma, et la dernière et non des moindres met à l'honneur les progrès des robots dans leurs applications industrielles et chirurgicales entre autres. Les animations sont conçues en modules, facilement déplaçables pour permettre une réorganisation de la file d'attente au besoin.

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Aussi étonnant que cela puisse paraître, le célèbre chorégraphe Kamel Ouali a prêté son expérience (et son image médiatique au passage !) à la programmation des séquences des robots. Quand le Futur rencontre la Star Academy... le Futuroscope est décidemment le pays de toutes les cultures !

La salle de bal

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Puis s'ensuivre la fameuse salle où prend place les 10 bras robotisés, véritables machines à sensations. Les visiteurs ont le choix entre cinq chorégraphies différentes, sensations différentes pour plaire à tous. Les plus courageux, mais pas téméraires, pourront accéder à la passerelle d'observation située dans l'attraction pour admirer leurs homologues humains "danser avec les robots".L'attraction est située dans un bâtiment en forme d'enclume de 60 mètres de long et de 30 mètres de large.

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L'avis...

Très belle attraction rare et bien thématisée digne des grands parcs à thèmes. C'est l'attraction numéro 2 au niveau popularité. A faire absolument !! Des sensations qui se rapprochent des montagnes russes, mais sans la vitesse quoi que...

1. Qualité des images : diffusion originale sur un écran circulaire en hauteur - 1 pt
2. Effets spéciaux : jolis - 1 pt
3
. Musiques : diverses et variées, entraînantes - 1 pt
4. Action : 100% - 1 pt
5
. Dialogues : Kamel Ouali glisse quelques mots entre chaque départ et ça nous mets dans l'ambiance - 1 pt
6
. Simulateur : ça ne manque pas de sensations - 1pt
7. Durée : bien voire un peu court lors des périodes de fortes affluences - 1 pt
8. Effets extérieurs au film : beaucoup de jeux de lumières - 1 pt
9
. Thème général : la danse, un bon thème pour des robocoasters, on se laisse apprivoiser - 1 pt
10. Thématisation attraction : bien, surtout la file d'attente, une des plus réussie du parc - 1 pt

NOTE (SUBJECTIVE)     :     10 / 10

2 mars 2009

quand l'art rencontre la science

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La science peut-elle parler à l’émotion et l’art à la raison ?
Cette exposition photographique en plein air de 76 clichés grand format présente des jeux de correspondance entre des images scientifiques fascinantes et celles de grands chefs-d’œuvre artistiques, des résonances entre formes et couleurs, à la découverte de relations symboliques entre la nature et la culture.

Beautés invisibles de la nature, territoires mystérieux du corps humain, vestiges de l’histoire…, les images de chercheurs de l’Inserm dialoguent avec les œuvres des plus grands peintres, sculpteurs ou architectes pour croiser les regards de l’art et de la science sur le monde.

Futuroscope éducation

 


Quand l'art rencontre la science

24 février 2009

magic show _ dossier

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Le spectacle...

HISTORIQUE DE BERTRAND LOTTH (http://www.bertranlotth.fr/references/index.htm) :
"Inspiré par les plus illustres magiciens, Bertran LOTTH fait ses premiers tours dès l'âge de sept ans.
A dix huit ans, l'artiste est récompensé pour son travail et obtient le prix national de manipulation.
On le découvre sur les plateaux de télévision en compagnie de Michel Drucker, Jean Pierre Foucault, Philippe Bouvard, etc. Les Croisières Paquet font appel à lui pour animer des soirées de gala.

1985
Bertran LOTTH crée sa propre compagnie.
Huit artistes de talent alliant tous les genres (danse, musique, comédie, mime, théâtre…) donnant ainsi un air nouveau à la Magie.

1992
La troupe de Bertran LOTTH, accompagnée de vingt-cinq musiciens et choristes, crée l'événement avec "Magie et Jazz".
Puis la consécration, vainqueur du 4e Grand Prix Magique de Monte-Carlo présidé par S.A.S. Stéphanie de Monaco, Bertran LOTTH reçoit la "Baguette d'Or".

1994
Il participe aux émissions TV "Les grosses têtes" de Philippe Bouvard.

1995
Resté un an à l'affiche du théâtre de Deauville, son nouveau spectacle "Deauville Magique" (mis en scène par James Hodges) a été vu par plus de 45 000 spectateurs.

1997
Il obtient le "Mandrake d'Or" décerné par les professionnels.

1998
Bertran LOTTH inaugure le théâtre Robert Houdin de la "Maison de la Magie" de Blois.

2000
Il est l'invité de Patrick Sébastien dans l'émission TV "Le Plus Grand Cabaret du Monde".

2001
Tournées à l'étranger.

2002-2007
Il présente au Parc du Futuroscope, d'avril à septembre, son nouveau spectacle "les grandes illusions" dans le théâtre Imagic. (Plus d'un million de visiteurs ont vu son spectacle à ce jour.)

2005
Bertran LOTTH obtient pour la seconde fois le "Mandrake d'Or" décerné par les professionnels.

2006-2007
Bertran LOTTH au théatre Imagic du Futuroscope.

2008
C'est la fuite en avant, accompagné toujours de la même troupe, Bertran LOTTH part sur les routes afin de présenter son spectacle culturel avec chaque fois le même souci : une mise en scène soignée, des effets de lumières importants, pour que le spectateur puisse faire ainsi le plus inoubliable des voyages."

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INFO PRESSE

« Pas d'approximation dans la présentation de Bertran LOTTH: un show réglé au millimètre, avec une très grande attention consacrée à la mise en scène; pour lancer le show, des projecteurs lasers, et ces jeux de lumières vont habiller toutes les présentations, avec toujours un choix de musiques très rythmées adaptées au tour présenté.
Pas de temps mort, pas de baisse de régime, au cours des presque deux heures qui vont suivre.
Toute la palette des illusions va être présentée, dans une succession de tableaux parfaitement enchaînés : des « classiques » avec des accessoires, où les assistantes sont transpercées ou découpées, aux manipulations de cartes ou d'anneaux en passant par le film vidéo permettant à Anne Roumanoff de se mêler au spectacle.
Un magicien qui connaît son métier sur le bout des artifices et de la technique ! Mais avec Bertran LOTTH il y a un plus: la complicité avec le public, le jeu que l'artiste sait mettre en place avec la salle, en partant chercher plusieurs spectateurs pour les faire participer à ses tours."

- La Nouvelle République -
bertran.lotth@orange.fr
© Copyright Bertran Lotth 2002/2008 - Tous droits réservés.   http://www.bertranlotth.fr

QUELQUES PHOTOS DE SON ANCIEN SPECTACLE LES ILLUSIONS MAGIQUES :

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Magic Show

L'avis...

Un spectacle époustouflant dans une très belle salle de spectacle l'Imagic ! C'est absolument à voir, d'autant plus que les tours sont bluffant. Une bonne maîtrise des techniques et des effets lumineux ainsi qu'une musique parfaite pour en mettre plein les yeux.

1. Qualité des décors : c'est parfait, un vrai pro - 1pt
2. Effets spéciaux : biensûr énormes - 1 pt
3. Musiques : très vives, elles font vivre le show intensément - 1 pt
4. Action : une succesion de tours rythmée qui fait participer le public, mais moins intense que dans l'ancien spectacle - 0,5 pt
5. Techniques : une grand professionel ce Bertrand Lotth, il ne s'agit pas que de petits tours de magie... - 1pt
6. Durée : 20 minutes, un show réglé à la seconde, c'est bien - 1pt
7. Effets extérieurs : objets, lumières, apparition dans le public, tout est fait pour faire parti du show -
1pt
8. Le sujet : on se perd un peu malheureusement, l'ancien show était basé sur les robots, un thème cohérent et clair - 0 pt
9. Dialogues : Bertrand Lotth parle avec ses mains - 1 pt
10. Thématisation de attraction : Très belle salle, une pré-salle avec quelques cadres - 0,5 pt

NOTE (SUBJECTIVE)    :     8   /   10

 

 

 

 

22 février 2009

le mystère de la note bleue _ dossier

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Extrait du Mystère de la note bleue
envoyé par jjac30 -

Le spectacle...

Un nouveau grand spectacle nocturne, signé Yves Pépin
Mike, un DJ populaire, et MP5, un DJ virtuel, bourré de technologie, s'affrontent dans un duel musical pour atteindre le son magique par excellence : la note bleue.
Quand celle-ci apparaît sous la forme d'un visage d'une pureté inimaginable pour disparaître aussitôt, les deux protagonistes n'ont plus qu'une idée en tête : partir à nouveau à la recherche de la note qui ouvre la voie de toutes les émotions sonores.
Décibelle, une petite fée volante va les guider dans un univers multicolore d’ondes graphiques, de percussions, de glissades sonores…
Lasers, images géantes sur écrans d’eau, jets de feux et de lumière composent ce voyage exploratoire et poétique.

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Un DJ humain très populaire et un DJ virtuel très technologique sont en quête d’harmonie pure et s'affrontent dans un duel musical pour atteindre le son magique : la note bleue. Quand celle-ci apparaît sous la forme d'un visage d'une pureté inimaginable pour disparaître aussitôt, les deux protagonistes n'ont plus qu'une idée en tête : partir à la recherche de la note qui ouvre la voie de toutes les émotions sonores. Lasers, images géantes sur écrans d’eau, jets de feux et de lumières composent un univers multicolore d’ondes graphiques, de percussions, de glissades sonores.

 

 

Un spectacle unique, signé Yves Pépin, qui conclut toute visite du Futuroscope.
Chaque soir à la tombée de la nuit, spectacle inclus dans le prix du billet et des séjours.

Le spectacle a lieu en plein cœur du Futuroscope, sur des gradins multicolores formant un amphithéâtre de 5000 places. Il fait face à une immense étendue, l’une des plus grandes scènes aquatiques du monde, avec, en toile de fond, une cascade d’eau d’une hauteur de 11 mètres.

Yves Pépin est reconnu mondialement comme concepteur et producteur de divertissements géants, temporaires ou permanents, telles que les cérémonies d’ouverture de la Coupe du monde de football en 1998 ou des Jeux paralympiques d’Athènes en 2004. Yves Pépin a notamment été récompensé, dans la catégorie « spectacle nocturne » par trois Thea Awards (qui récompensent au niveau mondial les plus grands projets menés dans les parcs de loisirs), pour Aquamatrix, à l’exposition universelle de Lisbonne en 1998, pour le ballet pyrotechnique du passage à l’an 2000 à la Tour Eiffel et pour le spectacle « El Tajin » sur le site archéologique de Veracruz au Mexique.

Futuroscope éducation

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Le final du spectacle Le mystère de la note bleue

L'avis...

Très beau spectacle qui n'a rien à voir avec l'ancien. Une histoire qui se tient, et visuellement rien à dire. De plus, on a même droit à des nouveaux effets (voir les roseaux lumineux). A noter également le final très réussi qui en met plein la vue et tout ça avec une couleur prédominante : le bleu qui met en valeur le lac et donne une atmosphère "mystérieuse"... Bref, rien à voir avec la Forêt des rêves !

1. Qualité du spectacle : visuel joli et bien réussi - 1pt
2. Effets spéciaux : des lasers très bien maîtrisés avec les images - 1pt
3. Musiques : des musiques entraînantes et qui restent dans la tête - 1pt
4. Action : on ne s'ennui pas dans ce spectacle - 1pt
5. Dialogues : drôles, cohérents - 1pt
6. Histoire : ça tient la route, on comprend le spectacle en une fois, et il y a but intéressant - 1pt
7. Durée : 25 min, le spectacle n'est ni trop long ni trop court, juste ce qu'il faut - 1pt
8. Effets extérieurs : pleins, déjà ce spectacle est interractif avec un DJ réel qui met l'ambiance avec une petite scène. A noter les artifices d'explosions sur l'écran géant et la scène du DJ, très réels - 1pt
9. Technologies : des nouveaus effets d'artifices et des roseaux lumineux : c'est un peu comme la Tour eiffel qui clignote - 1pt
10. Thème : bien exploité le thème de la musique avec la scène, un "vrai" DJ, et des nouveaux effets de lasers - 1pt

NOTE (SUBJECTIVE) :    10   /   10

 

 

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20 février 2009

écodingo _ dossier

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L'attraction...

En 2052, le climat s’est considérablement réchauffé. Les acteurs économiques mondiaux organisent une grande course de véhicules volants pour soutenir la recherche de moyens de locomotion alternatifs. Pour y participer, les pilotes doivent respecter une règle : utiliser des moyens de propulsion non polluants. Réalisé en images de synthèse synchronisées aux mouvements des sièges et commentées par un journaliste sportif.

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EcoDingoentraîne les visiteurs les plus téméraires dans une course futuriste aux univers graphiques étonnants. Bouclés à bord de leur vaisseau écologique, les pilotes du futur affrontent obstacles imprévus et facéties de leurs concurrents à un rythme effréné. Action, rire et sensations sont au programme de cette aventure en cinéma dynamique.

 

 

 

Une production exclusive pour le Futuroscope par Cube Creative. Sièges animés par des vérins hydrauliques, synchronisés à la projection du film. Durée : 5 min.

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Nouvel écran plat dans le pré-show

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Pré-show - Diffusion d'un film présentant les vaisseaux de la course

 


EcoDingo

L'avis...

Enfin ! Un film digne de remplacer Péril sur Akryls. Tout est au rendez-vous, la musique, l'action, les secousses, même un peu d'humour !  Bon, sinon côté thématisation, on note un effort mais comme d'habitude, ce n'est jamais exploité à fond (sauf pour Péril sur Akryls). A faire quand même.

1. Qualité de l'image : très bonne, belles images de synthèse - 1 pt
2. Effets spéciaux : rien à dire - 1pt
3. Musiques : bonne ambiance - 1pt
4. Action : bien, c'est la course - 1pt
5. Dialogues : un commentateur avec de l'humour en plus - 1pt
6. Simulateur : bof, des secousses, mais par moment ça suit pas - 0pt
7. Durée : plus long que les anciens, donc bien : 1 pt
8. Effets extérieurs au film : 2 gyrophares, c'est un début... - 0,5 pt
9. Histoire : une course assez originale - 0,5 pt
10. Thématisation attraction : le minimum, ça devient une habitude - 0,5 pt

NOTE (SUBJECTIVE) :    7,5    /    10

18 février 2009

les astromouches _ dossier

 

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Les Astromouches

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L'attraction...

Trois mouches, Nat et ses amis I.Q. et Scooter, embarquent clandestinement dans le premier vol vers la lune avec les astronautes Armstrong, Aldrin et Collins. Le film emmène le spectateur dans une incroyable aventure en trois dimensions au coeur de la mission historique d'Apollo 11

Film d'animation IMAX, Les Astromouches revisite avec humour l’histoire de la célèbre mission Apollo 11, le premier vol qui a conduit l’Homme à marcher sur la Lune. Alors que les astronautes Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins s’apprêtent à décoller, trois mouches s’infiltrent secrètement à bord de la capsule spatiale Apollo. D’un réalisme exceptionnel, les images en grand format des Astromouchesentraînent les visiteurs à partager l’incroyable aventure de ces passagères clandestines. Un scénario original aux multiples rebondissements et des personnages attachants font des Astromouchesun moment particulièrement apprécié des enfants. Premier long métrage européen d’animation réalisé exclusivement en 3D par le réalisateur belge Ben Stassen. ® 3D projeté sur un écran de 580 m².

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Quelques avis...

http://www.commeaucinema.com/interviews=109079-note-58925.htmlQue diriez-vous aux internautes pour leur donner envie d'aller voir Fly Me To The Moon ?
L'arrivée du son a été une première révolution dans le cinéma. Le cinéma en relief est peut-être une seconde révolution. Il donne une sensation d'immersion plus importante que le besoin de spectaculaire - la télévision en relief arrive d'ailleurs à grand pas !
Fly Me To The Moon fait partie des films pionniers, et il procure je crois une expérience différente. La plupart des gens ressortent de la salle en disant qu'ils ont eu une expérience nouvelle…

 

 

 

Interview : la tête dans les étoiles !

S’envoler dans l’espace, voir la planète de tout là-haut et poser le pied sur la Lune, c’est sûrement le rêve de millions d’entre nous… Certains l’ont fait, dont Buzz Aldrin, l’homme qui accompagnait Neil Armstrong le 21 juillet 1969. Et d’une certaine manière, le réalisateur Ben Stassen aussi, en réalisant Fly Me To The Moon, un film d’animation vraiment adorable sur les Mouchonautes – entendez par là trois petites mouches téméraires qui se sont tapés l’incruste dans la fusée avec Neil & Buzz ! Rencontre avec les deux hommes, la tête dans les étoiles.

 

Ben Stassen : le réalisateur illuminé !

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelles sont vos références en matière de films d'animation ?
Les grands Pixar et les grands Dreamworks, et de manière générale les grands films d'animation américains. J'ai beaucoup aimé
Ratatouille, et Kung Fu Panda est un de mes films préférés, calme, posé, comme je les aime. Je préfère ce genre de films d'animation à Madagascar par exemple.

Comment êtes-vous arrivé à la réalisation de film d’animation ?
J'ai fait mes études supérieures aux États-Unis et j'ai travaillé pour la télévision américaine pendant deux ans. J'ai fait mon premier long-métrage en 1990. C'est le moment où l'on a découvert l'ordinateur ! Cette mini-station qui nous a arcs d'attraction et des décors animés. A la fin des années 1990, des films de quarante

minutes en relief avec IMAX… C'était le début des grands films d'animation. Il y a trois ou quatre ans, nous avons eu la possibilité de faire des longs. Mais il faut savoir que seulement trente-neuf films ont été produits par IMAX. Et c’est 2003/2004, Hollywood a commencé à s'intéresser au cinéma en relief.

 

En ce qui concerne Fly Me To The Moon, il a été conçu dès le départ en 3D relief, ce qui est une première. Ça aurait été inconcevable de le sortir en 2D. Enfin moi je n'aurais pas voulu le faire en 2D. La mission d'Appolo XI est une grande histoire, aucun film n'a jamais été fait sur le sujet, mais cette histoire est prévisible, à la fois extraordinaire mais pas dramatique. C'est pour ça qu'il fallait une expérience nouvelle et différente. Je voulais faire un film pour les enfants, qui ne connaissent pas bien cette histoire. Je voulais leur raconter d'une façon totalement différente.

Selon vous, est-ce que la 3D relief est l'avenir du cinéma ?
Je ne pense pas. Mais à mon avis la 3D relief peut se développer en parallèle du cinéma plus classique. Le cinéma n'a pas besoin du relief pour fonctionner. Cependant dans la situation économique actuelle, il est de plus en plus difficile d'attirer les gens au cinéma. A Hollywood on produit des films de plus en plus spectaculaires, de plus en plus chers, et il n'y a plus de place pour les petits films. On met l'accent sur le spectaculaire. Les Ch'tis contredisent ce que je dis mais le succès d'Astérix va dans ce sens… Je viens de lire une étude sur le cinéma français ! Sur la totalité des films produits, seulement 12% sont rentables et deux ou trois films raflent la moitié des recettes. Je pense que, dans ce contexte, le relief peut faire sortir les gens de chez eux, parce qu’il donne plus d'intimité à un film, il donne le sentiment d'être transporté au cœur de l'histoire – et cela peut même être intéressant pour une comédie romantique, devenir un moteur de l'exploitation.

Hollywood est d'ailleurs déjà converti. L'Europe l'est un peu moins, mais l'an prochain de nombreux films sortent en relief en Europe. Trop d'ailleurs, car il n'y a pas assez de salles adaptées. En général il n'y a pas plus d'une salle par cinéma qui peut proposer des films en relief. Mais cela n’a pas empêché certains films en relief d’être des succès mondiaux : Spike It en 2003 par exemple.

 

Pourquoi avoir choisi ce scénario ?
Le sujet se prêtait bien au relief. En fait nous avions un budget - 25 millions d'euros au maximum - et nous recherchions un scénario… Nous sommes d'abord partis sur
Voyage Au Centre De La Terre, mais je me suis finalement retiré de ce projet.
On s’est alors lancé sur Fly Me To The Moon. Le projet a commencé il y a un moment, fin 2005.

Pourquoi la présence de Buzz Aldrin dans le film ?
Son intervention est pour moi un désir devenu réalité ! Parce que c'est la première fois qu'un film d'animation est basé entièrement sur un événement réel, on a même utilisé les plans de la NASA ! Du coup, sa présence est d'autant plus intéressante : le film va sortir dans des salles du monde entier, et ce qui l’a séduit, c’est la possibilité de réactualiser l'aventure, de faire partager son expérience. Cependant il manque un détail dans la version française, à la fin, ce que je regrette…

 

 

Buzz Aldrin : l'astronaute reconverti !

 

 

 

Comment a démarré le projet de Fly Me To The Moon ?
Il a débuté peut-être un an avant l'enregistrement des dernières images du film. A ce moment-là, on m'a contacté et on m'a seulement fait une description du contenu, rien de détaillé. J'ai accepté ce projet car depuis quelques temps je suis plus à l'aise avec le fait d'apparaître à l'écran dans des films.

Auriez-vous envie de "jouer" dans d'autres films ?
J'aimerais beaucoup! Mais j'aurais besoin d'aide, d'un prompteur. Je ne peux pas me rappeler des textes...

Avant d'apparaître dans Fly Me To The Moon, on vous avait déjà vu dans un film d'animation pour enfants : Toy Story. Buzz l'Eclair, c'est vous !
Oui, et d'ailleurs je ne l'ai appris qu'une fois que cela était fait. Ce n'était pas correct de ne pas m'avoir demandé mon accord pour utiliser mon nom. Je n'ai pas été payé non plus... !

Qu'est-ce que cela vous fait d'être dans un film d'animation pour enfants ?
Je suis le seul astronaute à faire cela. C'est unique dans mon domaine ! J'ai le sentiment de faire quelque chose que personne d’autre n’a fait. Et j'aime beaucoup ça !

Pensez-vous que la 3D relief est le futur du cinéma ?
Pour moi, ça sera bien mieux quand on aura plus besoin de porter ces lunettes pour voir les films en 3D relief ! Et puis pour l'instant ce genre de film est trop cher à produire…

 

Vous avez marché sur la Lune, vous êtes allé sous l'océan, au pôle Nord, vous avez écrit des livres... Y-a-t-il encore quelque chose d'extraordinaire que vous voudriez découvrir ?
Je ne suis pas encore allé au pôle Sud ! Apparemment, certaines personnes disent que c'est très bien. Y aller en avion serait peut-être plus rapide!

Je veux continuer à communiquer à travers des livres, des films, et agir pour améliorer les programmes spatiaux américains dans un futur proche. Je voudrais qu'on mette l'accent sur des voyages habités au-delà de la Lune. Je voudrais également qu'on visite des astéroïdes, et les satellites qui gravitent autour. C'est très important d'envoyer des vaisseaux là-bas. Si on est sur place, on peut contrôler les vaisseaux beaucoup plus rapidement…

Quels sont vos projets actuellement ?
Je veux continuer à communiquer à travers des livres, des films, et agir pour améliorer les programmes spatiaux américains dans un futur proche. Je voudrais qu'on mette l'accent sur des voyages habités au-delà de la Lune. Je voudrais également qu'on visite des astéroïdes, et les satellites qui gravitent autour. C'est très important d'envoyer des vaisseaux là-bas. Si on est sur place, on peut contrôler les vaisseaux beaucoup plus rapidement…

Parlez-nous de votre programme Space Share...
Il s'agit de réunions pour célébrer les succès du passé et entretenir des espoirs pour l'avenir. On veut organiser des loteries pour que les gens puissent aller dans l'espace et développer l'éducation en sciences et en astronomie…

Et enfin que diriez-vous aux internautes de commeaucinema.com pour qu'ils aillent voir
Fly Me To The Moon ?
Que c'est un film réjouissant, stimulant. Et que c'est également un film historique, qui retranscrit très bien ce que nous avons vécu en juillet 1969…

Propos recueillis par Charlotte Spinazzé (Paris, Octobre 2008)

 

 

 

 

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http://www.dvdrama.com/news-28699-cine-fly-me-to-the-moon.php

"Alors que les films d'animation ayant trait à la science-fiction ou l'espace se font nombreux cette année, avec pas moins de quatre productions qui viendraient contredire cette idée des producteurs selon laquelle animation et SF feraient mauvais ménage (l'échec cuisant au box-office du Titan A.E. de Don Bluth, qui avait sacrément mis à mal la Fox à l'époque, avait fait son petit effet), Fly me to the Moon a fait le pari de la projection en "3D Relief" pour se démarquer de la concurrence. En effet, le film de Ben Stassen (un spécialiste des films IMAX et 3D pour parcs d'attractions) est le premier long-métrage d'animation à avoir été pensé dès son origine pour cette nouvelle technologie et, ce qui est plus étonnant, uniquement elle. C'est à dire que le film ne pourra être vu qu'en très peu d'endroits, les salles équipées pour une telle projection étant encore peu nombreuses. Un choix courageux mais très dangereux, la cible potentielle du film étant bien sûr d'autant plus réduit. Et en même temps ce n'est peut-être pas si grave que ça, ces mouches privées de leur magnifique troisième dimension n'ayant plus beaucoup d'arguments pour s'assurer un public le plus large possible."

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"1969, Cap Canaveral... ou presque. Juste à côté, en fait, une décharge où vit le jeune moucheron Nat, incorrigible rêveur ayant grandi avec les histoires de son grand-père et désirant aujourd'hui, à son tour, vivre sa propre aventure. Quand l'occasion se présente alors d'aller sur la Lune, aventure parmi les aventures, il entraîne ses amis Scooter et I.Q. avec lui et tous trois embarquent clandestinement à bord de la mission Apollo XI. Direction l'espace, les yeux écarquillés et la tête pleine de rêves. Mais sur Terre tout n'est pas aussi rose car, en plus des mères affolées, les russes vexés prévoient de faire échouer la mission...

Ainsi, et tout comme
Voyage au centre de la Terre, Fly me to the Moon doit pour beaucoup de son intérêt à sa technique, cette projection en trois dimensions que l'on annonce comme la prochaine révolution du cinématographe. Et on y croirait presque tant les deux premiers représentants de ce nouvel art (sans compter les films "upgradés") se montrent convaincants, nous faisant vivre une expérience réellement différente de ce à quoi nous étions habitués jusque-là dans les salles obscures. Pourtant, cette réussite technique est à mettre en étroite relation avec ce qui fait défaut à ses films, à savoir un véritable oeil de réalisateur derrière la caméra. Ce nouveau système n'en étant encore qu'à ses tous débuts, ils sembleraient en effet logique de confier ces films aux plus à-mêmes de surmonter et corriger les premiers problèmes rencontrés, de mettre la technique au point tout en produisant des films pour rentabiliser la chose le plus rapidement possible (parce que s'il fallait compter sur James Cameron pour ça, avec ce qui fera pas loin de sept années de labeur pour son Avatar, Hollywood ne serait déjà plus qu'un désert de sable). C'est logique, oui, mais quant à savoir si cela est porteur au niveau filmique, c'est autre chose. Là où le spécialiste des effets spéciaux Eric Brevig manquait ainsi parfois clairement de savoir-faire dans la réalisation de son Voyage au centre de la Terre, Ben Stassen s'en sort heureusement bien mieux de par son expérience dans la création de films réservés aux parcs d'attractions. Souvent pensé en ces termes, Fly me to the Moon propose donc nombre de scènes où nous nous faufilons dans le décor à vol de mouche pour des sensations vraiment enivrantes (et qui rendront d'autant mieux à la Géode, où le film est prévu dans une version de 40 minutes) et qui font honneur au procédé (la séquence de l'alunissage est vraiment splendide). Pourtant, cette maîtrise de la profondeur et de la façon d'en jouer ne font pas tout et quand il s'agit de faire vivre des personnages par l'animation, le manque d'expérience en la matière du réalisateur et de son équipe se fait cruellement sentir, accusant un vrai retard au regard des standards actuels. Sans parler des designs parfois un peu étranges (pourquoi la tête du grand-père doit-elle autant ressembler à un crâne humain ?), nous ne pouvons fermer les yeux sur la gestuelle vraiment limitée des personnages, le manque de petits détails qui font qu'un personnage animé donne l'impression de vivre pour de bon. Revoyez Wall-e et vous comprendrez."

 

FLY ME TO THE MOON
Un film de Ben Stassen
Avec Tim Curry, Nicolette Sheridan, Christopher Lloyd, Robert Patrick, Kelly Ripa, Adrienne Barbeau, Ed Begley Jr., Buzz Aldrin
Date de sortie : 29 octobre 2008


Les Astromouches - Bande annonce

 

L'avis...

Film d'animation IMAX très sympa, tant au niveau de l'histoire, qu'au niveau des images. A noter que le film est coupé, car seul 35 minutes sont diffusées au Futuroscope : le passage proprement dit du voyage sur la lune. A voir une fois, mais au bout de plusieurs fois, le film devient long et on s'ennuie. Cependant, bon film pour les enfants, et bonne surprise, l'attraction a été re-thématisée sur le film ! A noter : les TV cathodiques du pré-show ont été changés par des écrans plats.

1. Qualité de l'image : superbes images  en relief -
1 pt
2. Effets spéciaux : bonne note pour les effets sonores -
1pt
3. Musiques : pas mal -
1 pt
4. Action : bien, sans plus -
1pt
5. Dialogues : drôles surtout pour les enfants -
0,5 pt
6. L'histoire : originale -
1 pt
7. Durée : finalement pas trop court même si le film est coupé pour le parc, mais ennuyeux à partir de 2 visionnages -
0pt
8. Effets extérieurs : les images sont très réelles, au point de faire parti du film - 0,5  pt
9. Le préshow : un bout du film (dommage) et des explications pas mal -
0,5 pt
10. Thématisation attraction : refaite et jolie, on aurait souhaité davantage dans le préshow - 0,5pt

NOTE (SUBJECTIVE)  :    7    /   10

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

12 février 2009

les astromouches en résumé

Les_astromouchesLes Astromouches revisite avec humour l’histoire de la célèbre mission Apollo 11, le premier vol qui a conduit l’Homme à marcher sur la Lune. Alors que les astronautes Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins s’apprêtent à décoller, trois mouches s’infiltrent secrètement à bord de la capsule spatiale Apollo. D’un réalisme exceptionnel, les images en grand format des Astromouchesentraînent les visiteurs à partager l’incroyable aventure de ces passagères clandestines. Un scénario original aux multiples rebondissements et des personnages attachants font des Astromouchesun moment particulièrement apprécié des enfants.

 

Premier long métrage européen d’animation réalisé exclusivement en 3D par le réalisateur belge Ben Stassen,

 

® 3D projeté sur un écran de 580 m². Durée : 35 min.

 

 

 

Film d’animation en IMAX

4 février 2009

nouveaux effets lumineux au spectacle nocturne

On en sait un peu plus sur les nouveaux effets du spectacle nocturne qui va se jouer à partir de samedi prochain : des roseaux lumineux à la surface du lac ! Le nouveau spectacle nocturne promet d'être surprenant. Le scénario se présente mieux que La forêt des rêves (moments longs et répétitifs avec une histoire creuse et dure à comprendre en une fois), il faut garder à l'esprit que Yves Pépin est une valeur sûre dans le milieu du spectacle ! Voici l'article de Parkothek écrit par Simon Bourlet.

"Des illuminés au futuroscope"

PAR SIMON BOURLET / http://nv.parkothek.info/article/00000436-des_illumines_au_futuroscope.html

A quelques semaines de la grande première de son nouveau spectacle nocturne, le Futuroscope met les bouchées doubles pour réaménager son lac où seront jouées ses belles histoires tous les soirs. Preuve en est cette installation géante au fond du bassin de 1500 roseaux lumineux reliés entre eux par 12 km de câble, et lestés par 22 tonnes.

C'est le collectif d'artistes français TILT qui est à l'origine de cette oeuvre : "éclairagistes-créateurs", ils font de la lumière une sculpture polymorphe en utilisant de la ferronerie, des matériaux de récupération ou de haute technicité.

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Le collectif vient tout juste d'achever le montage de sa mer de lumières au Futuroscope et publie quelques images sur son blog. On y découvre les joies et les peines qui surviennent lors d'une telle installation, et ce de façon plutôt inattendue, sans langue de bois !

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Blog : http://tilt-lumiere.blogspot.com/
Site officiel : www.t-i-l-t.com

 

1 février 2009

le mystère de la note bleue en résumé

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, à Yves Pépin*. Chaque soir, à la tombée de la nuit, l’immense scène aquatique située au coeur du parc, s’anime pour conter aux visiteurs l’histoire de Mike, le DJ populaire et branché qui affronte DJFX, son homologue virtuel dans un duel musical à la recherche d’un son unique : la note bleue. Décibelle, la petite fée volante, va les guider dans un univers multicolore d’ondes graphiques, de percussions, de glissades sonores. Lasers, images géantes sur écrans d’eau, jets de feux et de lumière composent cette féerie musicale grandiose qui conclut la journée au Futuroscope en apothéose.

 

Chaque soir, à la tombée de la nuit, spectacle inclus dans le prix du billet d’entrée au Futuroscope. Durée : 30 min.

*Une féerie musicale grandiose signée Yves Pépin

Directeur de la société organisatrice d’événements ECA2, Yves Pépin est reconnu mondialement comme concepteur et producteur de divertissements géants, temporaires ou permanents, telles que les cérémonies d’ouverture des Jeux olympiques de Pékin en 2008, la Coupe du monde de football en 1998 ou les Jeux paralympiques d’Athènes en 2004. Yves Pépin a notamment été récompensé, dans la catégorie « spectacle nocturne » par trois Thea Awards (qui récompensent au niveau mondial les plus grands projets menés dans les parcs de loisirs) pour Aquamatrix, à l’exposition universelle de Lisbonne en 1998, pour le ballet pyrotechnique du passage à l’an 2000 à la Tour Eiffel et pour le spectacle ‘El Tajin’ sur le site archéologique de Veracruz au Mexique. C’est la troisième fois que le Futuroscope fait appel à Yves Pépin pour concevoir son spectacle nocturne. Le Lac aux Images en 2000 et Le Miroir d’Uranie en 2002 avaient déjà recueilli un grand succès public.

Le Futuroscope a choisi de confier son nouveau grand spectacle nocturne,

Le Mystère de la Note Bleue

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