Pour la saison 2009, le Futuroscope renouvellera son spectacle nocturne sur le thème de la musique "Décibelle". Voici la description qui figure actuellement sur le guide du parc :
Avec son nouveau grand spectacle, le Futuroscope vous entraînera dans les méandres de la musique et du son, laser, images géantes sur écrans d'eau, jets de feux et de lumières composent un univers multicolore d'ondes graphiques, de percussions, de glissades sonores... Un voyage exploratoire et poétique. Un spectacle grandiose et avant gardiste, unique au monde !
Il y a 230 millions d'années, les dinosaures régnaient sur le monde animal pour disparaître brusquement il y a 65 millions d'années. Paléontologue réputé, Rodolfo Coria invite les visiteurs à le suivre en Patagonie et à retourner 80 millions d'années en arrière sur les traces des plus grands dinosaures ayant foulé le sol de la planète. Sur un écran hémisphérique et grâce à un mélange surprenant d'images de synthèse et d'images réelles, le titanesque herbivore Argentinosaurus et son ennemi le Giganotosaurus, un bipède carnivore, reprennent vie, en format géant, devant les visiteurs. Une expérience pour remonter le temps et comprendre l'histoire, l'évolution et l'extinction des dinosaures.
Présenté à l'Omnimax à partir de 2008 à 2009
L'AVIS
1. Qualité de l'image :bien, bonne maîtrise du réel et du virtuel. 1 pt 2. Effets spéciaux :bien, rien à dire.1 pt 3. Musique :Ca pourrait être mieux.0,5 pt 4. Action :pas mal, on a des scènes "instructives" avec le paléontologue intercalées successivement avec des scènes d'actions des dinosaures.1 pt 5. Les voix :hélas assez soporifiques !0 pt 6. L'histoire/le sujet : bien ficelée et intérressante, on suit l'évolution des dinosaures jusqu'à leur extinction. 1 pt 7. Les commentaires :instructifs mais un peu trop "reportage" éducatif ! Cela peut paraître long pour des enfants; en même temps le film répond à une offre plus large de visiteurs.1 pt 8. Effets extérieurs :le gigantisme de l'écran hémisphérique nous permet d'être avec les dinosaures et de faire parti de l'action. 1 pt 9. Durée :20 minutes, c'est bien assez pour ne pas s'ennuyer !1 pt 10. Thématisation de l'attraction :néant.0 pt
Restauration rapide = Panète burgers. Ca s'était avant, car depuis la fin de l'année 2007, Planète burgers est fermé pour travaux : du changement en perspective ! Planète burgers va céder la place à "Comptoirs du monde" à partir de Mai 2008. Ce nouveau restaurant -temple de la restauration rapide- aura une nouvelle entrée à l'arrière du bâtiment et proposera hamburgers, pâtes, assiettes kébab, sushis, salades, pâtisseries, milk-shakes et autres...
En attendant l'ouverture, le parc a ouvert un nouveau restaurant rapide "La cascade" situé entre les mondes virtuels et l'imagic. Ce restaurant est bien placé puisqu'il n'y avait rien pour se restaurer dans cette zone du parc ; de plus, la place était vide ce qui lui a permis d'être plus vivante. La cascade est un "illico resto" en amélioré ou plutôt, ce restaurant ressemble à un "Planète burgers" sans hamburgers !
Film inquiétant bien conçu et en plus ça bouge bien !! A bord de la voiture n°13... Vous partez à l'intérieur d'un train fantôme guidé par Elvira, sur les rails vous traversez des décors inquiétants : cathédrale, port, cimetière, flammes, serpents...., petits virages serrés à 90°, descentes brusques, le film ne manque pas de piquant !
Présentation du film durant la première moitiée de la saison 2008.
L'AVIS
EN RESUME : à faire absolument !
1. Qualité de l'image :bien. 1 pt 2. Effets spéciaux :Très bien. 1 pt 3. musiques/sons :bien. 1 pt 4. Action :Très bien mouvementé, on ne s'ennuie pas !1 pt 5. Dialogues :bien, Elvira nous fait bien rire ...et frissonner.1 pt 6. Effets des Simulateurs :Très bien et très violent ! Fragile : s'abstenir !1 pt 7.Effets extérieurs :aucun si l'on est au bout de la salle, l'écran est trop petit. De plus, on s'attend à du vent pour donner une impression de vitesse que l'on a jamais. 0 pt 8. Durée :bien pour un dynamique (violent).1 pt 9.Histoire : parfaite pour se changer les idées et prendre un bol de sensations fortes.1 pt 10.Thématisation de l'attraction :aucune en raison de la présence de plusieurs films sur la même salle mais on note une thématisation générale.1 pt
La nouvelle expérience participative du Futuroscope
Dès le 9 février 2008, le Futuroscope crée l’événement en ouvrant les portes de La Citadelle, son nouveau parcours-spectacle conçu en collaboration avec Jean Giraud aliasMoebius, monstre sacré de la bande dessinée et GérardMajax, célèbre illusionniste et inventeur du procédé Hallucinoscope™. Né de la rencontre de l’art et de l’illusion, le parcours participatif de La Citadelle du Vertigepropose aux visiteurs du Futuroscope de vivre des illusions d’optique spectaculaires et une expérience renversante dans des décors inspirés de l’album de Moebius « Le Garage Hermétique ».
En plaçant l’immersion et la sensation au coeur de l’expérience, La Citadelle du Vertigeinvite les visiteurs à passer de l’autre côté du miroir, à se glisser dans la peau d’un héros de BD au coeur de l’univers fantastique de Moebius. A tous les visiteurs, passionnés ou curieux, elle propose une nouvelle approche du neuvième art, vivante et stimulante. La bande dessinée se lit. Désormais, au Futuroscope, elle se vit. En repensant notre relation à la BD, dans une nouvelle dimension, La Citadelle du Vertigedonne vie à l’imaginaire créatif d’un grand auteur. Les visiteurs, dont les repères sont bousculés par la sensation de vertige, ressentent ici la subtilité de l’oeuvre de Moebius, elle-même nourrie de mondes aléatoires et vertigineux. Par la force de l’émotion, un nouveau lien unit l’artiste à son public. De l’imaginaire du dessin au plaisir d’y être immergé, le Futuroscope franchit un nouveau pas pour découvrir la bande dessinée autrement. A l’instar du parcours dans le noir Les Yeux Grands Fermés, de Star du Futur ! et de sa prochaine expérience révolutionnaire Les Animaux du Futur (ouverture le 5 avril 2008), elle s’inscrit dans la stratégie du Futuroscope de renouveler son offre.
Les visiteurs placent un miroir et les ajustent avec curiosité sur leurs têtes. A quoi peuvent-ils servir ? Après avoir pris soin de placer la partie miroir sous leurs yeux, ils pénètrent en file indienne dans le parcours spectacle immédiatement : le héros doit sauver Malvina , prisonnière des griffes du Bakalite. Seule, la traversée de six mondes fantastiques peut lui permettre de retrouver sa bien-aimée. Que les visiteurs le suivent ! La main posée sur une rampe, le regard plongé dans lemiroir de leurs casques, les visiteurs s’introduisent dans le premier univers du parcours : la ville chaotique. Stupeur ! Les voici complètement désorientés : sous leurs pieds, s’étend le décor d’une ville bruyante, vertigineuse et la sensation de marcher en lévitation au-dessus de la cité est troublante… Quant à la crainte d’être aspiré par le vide, elle demeure incontrôlable. Vertige des sens ! Tandis que les visiteurs progressent successivement dans six décors fantastiques, ils éprouvent la sensation de marcher en lévitation ou de traverser les éléments des décors. Au cours de leur traversée de la ville chaotique, du labyrinthe matriciel, de l’écloserie des cocons, du refuge du Bakalite, du vaisseau robotique ou de la citéMégalithe, les visiteurs sont leurrés par les effets « hallucinatoires » de leurs casques. L’expérience est saisissante car ce qu’ils perçoivent dans les miroirs est en réalité le reflet de décors réels suspendus au-dessus de leurs têtes. Grâce à ce jeu de miroirs, l’illusion de la réalité est parfaite. Les visiteurs perdent tout repère visuel au profit de sensations uniques telles que marcher en lévitation ou passer au travers de la matière. La fixation des décors, à différentes hauteurs participent à l’illusion : parfois lumineux ou animés, ils semblent se dresser en obstacles devant les visiteurs ou paraissent se situer sous leurs pas. L’ambiance sonore, les bruits ponctuels combinés aux illusions d’optiques concourent à immerger totalement les visiteurs dans l’univers de bande dessinée.
La ville chaotique
Klaxons, cris, sifflements, fracas d’effondrement, déflagrations, éclairs…Le brouhaha et toute la fureur d’une ville en ébullition s’élèvent sous les pas des visiteurs juchés en altitude sur les passerelles qui strient le ciel de la cité. Tandis que la voix lointaine deMalvina leur parvient, chacun assure son pas pour passer de passerelle en passerelle sans être happé par le vide et atteindre avec soulagement le labyrinthe matriciel.
Un véritable enchevêtrement de boyaux s’est amoncelé dans ce monde, constituant un labyrinthe visqueux. Les visiteurs devinent par ses ouvertures, figurant des bouches béantes, les ombres chinoises d’hommes sortant de part et d’autre des tubes, dans toutes les directions. Les visiteurs, d’abord inquiets, sont finalement heureux d’échapper à l’attraction de ces « gosiers ».
L’écloserie des cocons
Gargouillis, pulsations, bruits organiques…l’ambiance se fait inquiétante, d’étranges larves s’animent et semblent vouloir éclore sous les pieds des visiteurs. Ces derniers distinguent des formes humaines, aux têtes étranges, comme marquées par des signes cabalistiques, isolées les unes des autres dans des cocons. L’idée de traverser ce monde est loin d’être engageante. Pourtant, le sauvetage de Malvina en dépend.
Le refuge du Bakalite
Dans l’obscurité du néant, les visiteurs, tels des équilibristes, avancent prudemment dans les airs sur les tubes que le Bakalite ennemi juré du Major Grubert, a tissé. La traversée est sans filet et le monstre reptilien qui dévoile enfin sa tête est aux aguets sous les pas des visiteurs avec l’espoir cruel que l’un d’eux, pris de vertige, se laisse happé par l’abyme.
Le vaisseau robotique
En posture vertigineuse, les visiteurs marchent sur la coque rouillée et bombée d’un appareil aux allures de sous-marin. Au sommet de cet étrange vaisseau composé de trois tronçons, l’angoisse monte : surtout marcher bien droit pour ne pas passer par-dessus bord. A bâbord comme à tribord, les parois de la coque s’élèvent à pic au dessus d’un gouffre impressionnant dont on ne saurait évaluer la profondeur.
La Cité Mégalithe
C’est une cité multipliée, démultipliée qui s’offre au regard des visiteurs. Les immenses formes géométriques qui constituent la cité mégalithe semblent se prolonger à l’infini. Les visiteurs croisent sur leur chemin vertigineux des hommes marchant à l’endroit comme à l’envers sur les polygones, comme si la pesanteur terrestre n’avait plus d’effet sur eux. Tout à leur désarroi, les visiteurs découvrent le Major Grubert et Malvina enfin réunis.
L’Hallucinoscope…
L’image réfléchie d’un miroir peut très facilement nous induire en erreur et c’est en jouant avec des miroirs que l’idée de l’Hallucinoscope™ est née dans la tête du magicien et passionné d’illusions d’optique, Gérard Majax. Son procédé spectaculaire transforme les décors de visiteurs, sans aucun composant électronique. La perception de la réalité qui nous entoure dépend d'abord des signaux envoyés par l'oeil et interprétés par notre cerveau. Des sensations, comme le contact du sol par le toucher de nos pieds, sont soumises à l'analyse visuelle, si bien que l'effet de l’Hallucinoscope™ sur l'environnement est totalement magique.
Fiche technique
Parcours spectacle d’une durée de 5 minute L’attraction accueille environ 700 personnes par heure. 55 mètres de parcours avec 2 mains courantes. Les visiteurs avancent en file indienne, équipés de leurs « lunettes miroirs" Hallucinoscope™. L’ensemble du parcours est sonorisé. Des sonorisations ponctuelles animent les différents décors. La scénographie et la conception des décors est réalisée par la société XLargo. L’accès de l’attraction est prévue pour tous les publics, sans restriction d’âge ni contre indications particulière. Un accès facilité est réservé aux personnes à mobilité réduite.
L'AVIS...
Attraction originale qui fait suite à l'ancien cinéma 360° (plutôt sans intérêt et pas très populaire). La conception est bonne, l'idée également, seulement le parcours est assez rapide à faire et on ne comprend pas très bien l'histoire (à moins d'avoir lu la BD ou le résumé de l'attraction). Le procédé est intéressant, on a un peu d'angoisse avant étant donné que l'on ne sait pas sur quoi l'on va tomber mais on ressort quand même déçu de l'attraction.
EN RESUME: à faire après les grandes attractions ou vraiment s'il y a du monde sur le parc avec des files d'attentes interminables puisque c'est une attraction à forte capacité, il n'y a pas beaucoup d'attente.
1. Qualité des décors :bonne.1 pt 2. effets spéciaux :bien, procédé hallucinascope original.1 pt 3. musiques/sons :peu mieux faire.0 pt 4. action :néant, ça manque de suspens.0 pt 5. Les voix :trop peu, à peine perceptibles.0,5 pt 6. Commentaires : un peu et surtout très répétitifs !0 pt 7. durée :un peu cours, étant donné que l'on marche, on a tedance à aller assez vite.0 pt 8. histoire/le sujet :on y comprend rien si on ne connaît pas le résimé de l'attraction ou la BD.0 pt 9. Effets exterieurs :on ressent mal les effets attendus mais bon pourquoi pas ?1 pt 10. Thématisation de l'attraction :bien (sans excès).1 pt
Communiqué de Presse-Futuroscope : nouvelle hausse de fréquentation et retour des bénéfices
> L’équation gagnante du 10/20/60
Le Parc récolte les fruits de sa stratégie de développement, selon laquelle il investit 10% de son chiffre d’affaires chaque année pour renouveler 20% de ses attractions, et ainsi faire revenir 60% de ses visiteurs. Le renouvellement des contenus, avec une offre plus interactive et sensorielle (« Danse avec les robots », « Parcours dans le noir », « Vienne Dynamique Effets 4D »,…), reste le moteur de l’attractivité. Jumelé à une dynamique « 20 ans », il a permis une croissance forte du nombre de re-visiteurs (un million cette année contre 500 000 il y a 4 ans). Depuis le début de l’année, ils représentent plus de 60% des visites. Re-visiteurs et visiteurs sont particulièrement sensibles aux changements apportés puisque 8 des 10 attractions les plus appréciées ont été introduites ces trois dernières années. Cette stratégie impose désormais le Parc comme une destination de séjour à part entière. 60% des visites individuelles se font dans le cadre d’une visite sur 2 jours. Et depuis 2005, on constate aussi l’augmentation des séjours sur 2 jours et 2 nuits. Le nombre de nuitées d’hôtels sur le site a par ailleurs progressé de 26% par rapport à l’an passé, un phénomène ressenti également dans tout le département. Le Parc lancera en avril prochain une nouvelle attraction, «Les Animaux du Futur», une attraction unique au monde qui associera la technologie révolutionnaire de la « réalité augmentée » à un scénario possible de l’évolution des espèces. Par son esprit créatif, sa capacité à innover, sa recherche de l’équilibre entre plaisir et découverte, le Futuroscope installe son offre de loisirs dans le temps.
Jaunay-Clan, le 6 janvier 2008
Le Parc, dont la saison s’achève ce dimanche 6 janvier, a accueilli cette année 1,6 million de visiteurs. En 3 ans, le Parc aura donc reconquis 400 000 visites (dont près de 200 000 cette année) et surtout renoué avec les bénéfices, avec un chiffre d’affaires en croissance de 17%. Le fruit d’une stratégie active de reconquête des visiteurs, portée par le renouvellement des attractions, et d’une politique de charges maîtrisées.
Après un début des années 2000 difficile, né d’une « privatisation » qui n’aura pas connu le succès espéré, l’exploitation du Futuroscope est reprise en 2003, par le Conseil général de la Vienne. Le nouvel actionnaire majoritaire de la Société d’Economie Mixte locale, élabore alors un plan de restructuration et de relance, permettant de maîtriser les charges avec une diminution des coûts par visite de 25%, tout en redonnant de l’attractivité au Parc grâce à une politique affirmée de renouvellement régulier des attractions. Alors que le Parc de loisirs devait accueillir 2,2 millions de visiteurs en 2002 pour atteindre l’équilibre financier, il a établi, après une réduction des charges, son point d’équilibre à 1,5 million de visiteurs aujourd’hui. Avec 1,6 million de visiteurs en 2007, il conclut donc la saison de son 20
e anniversaire, avec plus d’1,5 million d’euros de bénéfices, pour un chiffre d’affaires avoisinant 70 millions d’euros (contre 60 millions en 2006, soit une progression de 17%).