Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

monfuturoscope

18 février 2009

les astromouches _ dossier

 

plan_astromouches


Les Astromouches

Les_astromouches

lasastromouches1

L'attraction...

Trois mouches, Nat et ses amis I.Q. et Scooter, embarquent clandestinement dans le premier vol vers la lune avec les astronautes Armstrong, Aldrin et Collins. Le film emmène le spectateur dans une incroyable aventure en trois dimensions au coeur de la mission historique d'Apollo 11

Film d'animation IMAX, Les Astromouches revisite avec humour l’histoire de la célèbre mission Apollo 11, le premier vol qui a conduit l’Homme à marcher sur la Lune. Alors que les astronautes Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins s’apprêtent à décoller, trois mouches s’infiltrent secrètement à bord de la capsule spatiale Apollo. D’un réalisme exceptionnel, les images en grand format des Astromouchesentraînent les visiteurs à partager l’incroyable aventure de ces passagères clandestines. Un scénario original aux multiples rebondissements et des personnages attachants font des Astromouchesun moment particulièrement apprécié des enfants. Premier long métrage européen d’animation réalisé exclusivement en 3D par le réalisateur belge Ben Stassen. ® 3D projeté sur un écran de 580 m².

lesastromouches2

016

lesastromouches3

lesastromouches4

lesastromouches5

Quelques avis...

http://www.commeaucinema.com/interviews=109079-note-58925.htmlQue diriez-vous aux internautes pour leur donner envie d'aller voir Fly Me To The Moon ?
L'arrivée du son a été une première révolution dans le cinéma. Le cinéma en relief est peut-être une seconde révolution. Il donne une sensation d'immersion plus importante que le besoin de spectaculaire - la télévision en relief arrive d'ailleurs à grand pas !
Fly Me To The Moon fait partie des films pionniers, et il procure je crois une expérience différente. La plupart des gens ressortent de la salle en disant qu'ils ont eu une expérience nouvelle…

 

 

 

Interview : la tête dans les étoiles !

S’envoler dans l’espace, voir la planète de tout là-haut et poser le pied sur la Lune, c’est sûrement le rêve de millions d’entre nous… Certains l’ont fait, dont Buzz Aldrin, l’homme qui accompagnait Neil Armstrong le 21 juillet 1969. Et d’une certaine manière, le réalisateur Ben Stassen aussi, en réalisant Fly Me To The Moon, un film d’animation vraiment adorable sur les Mouchonautes – entendez par là trois petites mouches téméraires qui se sont tapés l’incruste dans la fusée avec Neil & Buzz ! Rencontre avec les deux hommes, la tête dans les étoiles.

 

Ben Stassen : le réalisateur illuminé !

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelles sont vos références en matière de films d'animation ?
Les grands Pixar et les grands Dreamworks, et de manière générale les grands films d'animation américains. J'ai beaucoup aimé
Ratatouille, et Kung Fu Panda est un de mes films préférés, calme, posé, comme je les aime. Je préfère ce genre de films d'animation à Madagascar par exemple.

Comment êtes-vous arrivé à la réalisation de film d’animation ?
J'ai fait mes études supérieures aux États-Unis et j'ai travaillé pour la télévision américaine pendant deux ans. J'ai fait mon premier long-métrage en 1990. C'est le moment où l'on a découvert l'ordinateur ! Cette mini-station qui nous a arcs d'attraction et des décors animés. A la fin des années 1990, des films de quarante

minutes en relief avec IMAX… C'était le début des grands films d'animation. Il y a trois ou quatre ans, nous avons eu la possibilité de faire des longs. Mais il faut savoir que seulement trente-neuf films ont été produits par IMAX. Et c’est 2003/2004, Hollywood a commencé à s'intéresser au cinéma en relief.

 

En ce qui concerne Fly Me To The Moon, il a été conçu dès le départ en 3D relief, ce qui est une première. Ça aurait été inconcevable de le sortir en 2D. Enfin moi je n'aurais pas voulu le faire en 2D. La mission d'Appolo XI est une grande histoire, aucun film n'a jamais été fait sur le sujet, mais cette histoire est prévisible, à la fois extraordinaire mais pas dramatique. C'est pour ça qu'il fallait une expérience nouvelle et différente. Je voulais faire un film pour les enfants, qui ne connaissent pas bien cette histoire. Je voulais leur raconter d'une façon totalement différente.

Selon vous, est-ce que la 3D relief est l'avenir du cinéma ?
Je ne pense pas. Mais à mon avis la 3D relief peut se développer en parallèle du cinéma plus classique. Le cinéma n'a pas besoin du relief pour fonctionner. Cependant dans la situation économique actuelle, il est de plus en plus difficile d'attirer les gens au cinéma. A Hollywood on produit des films de plus en plus spectaculaires, de plus en plus chers, et il n'y a plus de place pour les petits films. On met l'accent sur le spectaculaire. Les Ch'tis contredisent ce que je dis mais le succès d'Astérix va dans ce sens… Je viens de lire une étude sur le cinéma français ! Sur la totalité des films produits, seulement 12% sont rentables et deux ou trois films raflent la moitié des recettes. Je pense que, dans ce contexte, le relief peut faire sortir les gens de chez eux, parce qu’il donne plus d'intimité à un film, il donne le sentiment d'être transporté au cœur de l'histoire – et cela peut même être intéressant pour une comédie romantique, devenir un moteur de l'exploitation.

Hollywood est d'ailleurs déjà converti. L'Europe l'est un peu moins, mais l'an prochain de nombreux films sortent en relief en Europe. Trop d'ailleurs, car il n'y a pas assez de salles adaptées. En général il n'y a pas plus d'une salle par cinéma qui peut proposer des films en relief. Mais cela n’a pas empêché certains films en relief d’être des succès mondiaux : Spike It en 2003 par exemple.

 

Pourquoi avoir choisi ce scénario ?
Le sujet se prêtait bien au relief. En fait nous avions un budget - 25 millions d'euros au maximum - et nous recherchions un scénario… Nous sommes d'abord partis sur
Voyage Au Centre De La Terre, mais je me suis finalement retiré de ce projet.
On s’est alors lancé sur Fly Me To The Moon. Le projet a commencé il y a un moment, fin 2005.

Pourquoi la présence de Buzz Aldrin dans le film ?
Son intervention est pour moi un désir devenu réalité ! Parce que c'est la première fois qu'un film d'animation est basé entièrement sur un événement réel, on a même utilisé les plans de la NASA ! Du coup, sa présence est d'autant plus intéressante : le film va sortir dans des salles du monde entier, et ce qui l’a séduit, c’est la possibilité de réactualiser l'aventure, de faire partager son expérience. Cependant il manque un détail dans la version française, à la fin, ce que je regrette…

 

 

Buzz Aldrin : l'astronaute reconverti !

 

 

 

Comment a démarré le projet de Fly Me To The Moon ?
Il a débuté peut-être un an avant l'enregistrement des dernières images du film. A ce moment-là, on m'a contacté et on m'a seulement fait une description du contenu, rien de détaillé. J'ai accepté ce projet car depuis quelques temps je suis plus à l'aise avec le fait d'apparaître à l'écran dans des films.

Auriez-vous envie de "jouer" dans d'autres films ?
J'aimerais beaucoup! Mais j'aurais besoin d'aide, d'un prompteur. Je ne peux pas me rappeler des textes...

Avant d'apparaître dans Fly Me To The Moon, on vous avait déjà vu dans un film d'animation pour enfants : Toy Story. Buzz l'Eclair, c'est vous !
Oui, et d'ailleurs je ne l'ai appris qu'une fois que cela était fait. Ce n'était pas correct de ne pas m'avoir demandé mon accord pour utiliser mon nom. Je n'ai pas été payé non plus... !

Qu'est-ce que cela vous fait d'être dans un film d'animation pour enfants ?
Je suis le seul astronaute à faire cela. C'est unique dans mon domaine ! J'ai le sentiment de faire quelque chose que personne d’autre n’a fait. Et j'aime beaucoup ça !

Pensez-vous que la 3D relief est le futur du cinéma ?
Pour moi, ça sera bien mieux quand on aura plus besoin de porter ces lunettes pour voir les films en 3D relief ! Et puis pour l'instant ce genre de film est trop cher à produire…

 

Vous avez marché sur la Lune, vous êtes allé sous l'océan, au pôle Nord, vous avez écrit des livres... Y-a-t-il encore quelque chose d'extraordinaire que vous voudriez découvrir ?
Je ne suis pas encore allé au pôle Sud ! Apparemment, certaines personnes disent que c'est très bien. Y aller en avion serait peut-être plus rapide!

Je veux continuer à communiquer à travers des livres, des films, et agir pour améliorer les programmes spatiaux américains dans un futur proche. Je voudrais qu'on mette l'accent sur des voyages habités au-delà de la Lune. Je voudrais également qu'on visite des astéroïdes, et les satellites qui gravitent autour. C'est très important d'envoyer des vaisseaux là-bas. Si on est sur place, on peut contrôler les vaisseaux beaucoup plus rapidement…

Quels sont vos projets actuellement ?
Je veux continuer à communiquer à travers des livres, des films, et agir pour améliorer les programmes spatiaux américains dans un futur proche. Je voudrais qu'on mette l'accent sur des voyages habités au-delà de la Lune. Je voudrais également qu'on visite des astéroïdes, et les satellites qui gravitent autour. C'est très important d'envoyer des vaisseaux là-bas. Si on est sur place, on peut contrôler les vaisseaux beaucoup plus rapidement…

Parlez-nous de votre programme Space Share...
Il s'agit de réunions pour célébrer les succès du passé et entretenir des espoirs pour l'avenir. On veut organiser des loteries pour que les gens puissent aller dans l'espace et développer l'éducation en sciences et en astronomie…

Et enfin que diriez-vous aux internautes de commeaucinema.com pour qu'ils aillent voir
Fly Me To The Moon ?
Que c'est un film réjouissant, stimulant. Et que c'est également un film historique, qui retranscrit très bien ce que nous avons vécu en juillet 1969…

Propos recueillis par Charlotte Spinazzé (Paris, Octobre 2008)

 

 

 

 

Les_astromouches_2

 

http://www.dvdrama.com/news-28699-cine-fly-me-to-the-moon.php

"Alors que les films d'animation ayant trait à la science-fiction ou l'espace se font nombreux cette année, avec pas moins de quatre productions qui viendraient contredire cette idée des producteurs selon laquelle animation et SF feraient mauvais ménage (l'échec cuisant au box-office du Titan A.E. de Don Bluth, qui avait sacrément mis à mal la Fox à l'époque, avait fait son petit effet), Fly me to the Moon a fait le pari de la projection en "3D Relief" pour se démarquer de la concurrence. En effet, le film de Ben Stassen (un spécialiste des films IMAX et 3D pour parcs d'attractions) est le premier long-métrage d'animation à avoir été pensé dès son origine pour cette nouvelle technologie et, ce qui est plus étonnant, uniquement elle. C'est à dire que le film ne pourra être vu qu'en très peu d'endroits, les salles équipées pour une telle projection étant encore peu nombreuses. Un choix courageux mais très dangereux, la cible potentielle du film étant bien sûr d'autant plus réduit. Et en même temps ce n'est peut-être pas si grave que ça, ces mouches privées de leur magnifique troisième dimension n'ayant plus beaucoup d'arguments pour s'assurer un public le plus large possible."

h_4_ill_1110490_fly_moon_bis

"1969, Cap Canaveral... ou presque. Juste à côté, en fait, une décharge où vit le jeune moucheron Nat, incorrigible rêveur ayant grandi avec les histoires de son grand-père et désirant aujourd'hui, à son tour, vivre sa propre aventure. Quand l'occasion se présente alors d'aller sur la Lune, aventure parmi les aventures, il entraîne ses amis Scooter et I.Q. avec lui et tous trois embarquent clandestinement à bord de la mission Apollo XI. Direction l'espace, les yeux écarquillés et la tête pleine de rêves. Mais sur Terre tout n'est pas aussi rose car, en plus des mères affolées, les russes vexés prévoient de faire échouer la mission...

Ainsi, et tout comme
Voyage au centre de la Terre, Fly me to the Moon doit pour beaucoup de son intérêt à sa technique, cette projection en trois dimensions que l'on annonce comme la prochaine révolution du cinématographe. Et on y croirait presque tant les deux premiers représentants de ce nouvel art (sans compter les films "upgradés") se montrent convaincants, nous faisant vivre une expérience réellement différente de ce à quoi nous étions habitués jusque-là dans les salles obscures. Pourtant, cette réussite technique est à mettre en étroite relation avec ce qui fait défaut à ses films, à savoir un véritable oeil de réalisateur derrière la caméra. Ce nouveau système n'en étant encore qu'à ses tous débuts, ils sembleraient en effet logique de confier ces films aux plus à-mêmes de surmonter et corriger les premiers problèmes rencontrés, de mettre la technique au point tout en produisant des films pour rentabiliser la chose le plus rapidement possible (parce que s'il fallait compter sur James Cameron pour ça, avec ce qui fera pas loin de sept années de labeur pour son Avatar, Hollywood ne serait déjà plus qu'un désert de sable). C'est logique, oui, mais quant à savoir si cela est porteur au niveau filmique, c'est autre chose. Là où le spécialiste des effets spéciaux Eric Brevig manquait ainsi parfois clairement de savoir-faire dans la réalisation de son Voyage au centre de la Terre, Ben Stassen s'en sort heureusement bien mieux de par son expérience dans la création de films réservés aux parcs d'attractions. Souvent pensé en ces termes, Fly me to the Moon propose donc nombre de scènes où nous nous faufilons dans le décor à vol de mouche pour des sensations vraiment enivrantes (et qui rendront d'autant mieux à la Géode, où le film est prévu dans une version de 40 minutes) et qui font honneur au procédé (la séquence de l'alunissage est vraiment splendide). Pourtant, cette maîtrise de la profondeur et de la façon d'en jouer ne font pas tout et quand il s'agit de faire vivre des personnages par l'animation, le manque d'expérience en la matière du réalisateur et de son équipe se fait cruellement sentir, accusant un vrai retard au regard des standards actuels. Sans parler des designs parfois un peu étranges (pourquoi la tête du grand-père doit-elle autant ressembler à un crâne humain ?), nous ne pouvons fermer les yeux sur la gestuelle vraiment limitée des personnages, le manque de petits détails qui font qu'un personnage animé donne l'impression de vivre pour de bon. Revoyez Wall-e et vous comprendrez."

 

FLY ME TO THE MOON
Un film de Ben Stassen
Avec Tim Curry, Nicolette Sheridan, Christopher Lloyd, Robert Patrick, Kelly Ripa, Adrienne Barbeau, Ed Begley Jr., Buzz Aldrin
Date de sortie : 29 octobre 2008


Les Astromouches - Bande annonce

 

L'avis...

Film d'animation IMAX très sympa, tant au niveau de l'histoire, qu'au niveau des images. A noter que le film est coupé, car seul 35 minutes sont diffusées au Futuroscope : le passage proprement dit du voyage sur la lune. A voir une fois, mais au bout de plusieurs fois, le film devient long et on s'ennuie. Cependant, bon film pour les enfants, et bonne surprise, l'attraction a été re-thématisée sur le film ! A noter : les TV cathodiques du pré-show ont été changés par des écrans plats.

1. Qualité de l'image : superbes images  en relief -
1 pt
2. Effets spéciaux : bonne note pour les effets sonores -
1pt
3. Musiques : pas mal -
1 pt
4. Action : bien, sans plus -
1pt
5. Dialogues : drôles surtout pour les enfants -
0,5 pt
6. L'histoire : originale -
1 pt
7. Durée : finalement pas trop court même si le film est coupé pour le parc, mais ennuyeux à partir de 2 visionnages -
0pt
8. Effets extérieurs : les images sont très réelles, au point de faire parti du film - 0,5  pt
9. Le préshow : un bout du film (dommage) et des explications pas mal -
0,5 pt
10. Thématisation attraction : refaite et jolie, on aurait souhaité davantage dans le préshow - 0,5pt

NOTE (SUBJECTIVE)  :    7    /   10

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
16 février 2009

apéritif-cocktail 2009

028Dimanche 15 Février 2009, 17H30

Le kadélicescope reçoit du monde : les pocesseurs de carte club Futuroscope invités autour de boissons et amuses-gueules. Pas beaucoup de monde cet après midi là, mais des surprises au rendez-vous.


Présentation des nouveautés 2009 (même si à 17H30, c'est un peu tard vu qu'on a eu la journée pour les découvrir).
Présentation du nouveau club des ambassadeurs : c'est en fait un "super club futuroscope" pour ceux qui sont prêt à promouvoir le parc en faisant de la vitrophanie sur leur véhicule, distribution de prospectus... Tout ça en l'échange de la gratuité de la carte club. Une façon innovante de faire la publicité pour la parc.
Enfin, le parc a gentiment offert deux entrées gratuites à chaque personne présente valable jusqu'en janvier 2010.

Bref, une bonne après midi...

Blog Futuroscope - http://futuroscope.canalblog.com/

12 février 2009

les astromouches en résumé

Les_astromouchesLes Astromouches revisite avec humour l’histoire de la célèbre mission Apollo 11, le premier vol qui a conduit l’Homme à marcher sur la Lune. Alors que les astronautes Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins s’apprêtent à décoller, trois mouches s’infiltrent secrètement à bord de la capsule spatiale Apollo. D’un réalisme exceptionnel, les images en grand format des Astromouchesentraînent les visiteurs à partager l’incroyable aventure de ces passagères clandestines. Un scénario original aux multiples rebondissements et des personnages attachants font des Astromouchesun moment particulièrement apprécié des enfants.

 

Premier long métrage européen d’animation réalisé exclusivement en 3D par le réalisateur belge Ben Stassen,

 

® 3D projeté sur un écran de 580 m². Durée : 35 min.

 

 

 

Film d’animation en IMAX

10 février 2009

le monde des enfants en chantier

MDE2009__2_

Voici 3 ans que le Monde des enfants est en métamorphose. Mission éclabousse, Objectif Lyoco, et bien d'autres qui sont apparus depuis 2007. Voici l'évolution des plans :

plan_m10
MDE - 2007

Map_MDE
MDE - 2008

mde20010
MDE -2009

Trois nouveaux jeux vont compléter le Monde des enfants cette année. Ouverture en avril prochain. Deux au sud :

Les As du ciel : circuit aérien qui embarque chaque enfants à bord d'une nacelle surmontée d'un étonnant parachute. Suspendu dans les airs, l'enfant survole le Monde des enfants grâce à une tyrolienne.

Le Splash des Loustics est destiné aux téméraires qui veulent vivre le grand plongeon. Un bateau individuel hisse l'enfant à 8 mètres de haut avant de s'élancer et de glisser à toute vitesse jusqu'au bassin en contrebas.

Et un au nord :

La pyramide offre aux grimpeurs courageux une multitude de chemins d'escalade tissés en corde. Objectif : atteindre le sommet à 9 mètres du sol. Voici quelques photos de la métamorphose (source : forum du futuroscope) au niveau de la futur pyramide.

MDE2009_1

MDE2009_3

MDE2009_4
 

7 février 2009

début de la saison 2009


Futuroscope Saison 2009

Faites_vous_plaisirArtifices_8

NOUVEAUTE 2009 _ CHOCS COSMIQUES

Chocs_cosmiques

Cosmoscope

Preshow_chocs_cosmiques

NOUVEAUTE 2009 _ ECODINGO

Ecodingo_2

Ecodingo

NOUVEAUTE 2009 _ LES ASTROMOUCHES

Les_astromouches

Les_astromouches_2

Imax_3D

NOUVEAUTE 2009 _ EXPO PLEIN AIR

Expo_2009

NOUVEAUTE 2009 _ LE MONDE DES ENFANTS

Le_monde_des_enfants2009
Les as du ciel - Le splash des loustics

NOUVEAUTE 2009 _ MAGIC SHOW

les_grandes_illusions

Publicité
Publicité
5 février 2009

présentation de la saison 2009

PORTEURS DE CARTE CLUB FUTUROSCOPE,

Vous êtes invités à un apéritif-cocktail le dimanche 15 février prochain au parc du Futuroscope. Notez que vous avez possibilité d'inviter un accompagnant porteur OU NON de la carte, dans ce cas, ce dernier bénéficiera de l'entrée gratuite au parc dès 10 heure, et de l'apéritif offert. Il vous faut renvoyer le coupon réponse joint à l'invitation avant le 10 février.

Au programme de cette journée :

Accueil à l'agence Club Futuroscope dès 10 heure, visite libre du parc pour découvrir les nouveautés 2009.
Apéritif-cocktail au Kadélicescope à 17H30 pour une présentation de la saison et du nouveau Club des Ambassadeurs.
Spectacle nocturne Le mystère de la note bleue à 19H30.

4 février 2009

nouveaux effets lumineux au spectacle nocturne

On en sait un peu plus sur les nouveaux effets du spectacle nocturne qui va se jouer à partir de samedi prochain : des roseaux lumineux à la surface du lac ! Le nouveau spectacle nocturne promet d'être surprenant. Le scénario se présente mieux que La forêt des rêves (moments longs et répétitifs avec une histoire creuse et dure à comprendre en une fois), il faut garder à l'esprit que Yves Pépin est une valeur sûre dans le milieu du spectacle ! Voici l'article de Parkothek écrit par Simon Bourlet.

"Des illuminés au futuroscope"

PAR SIMON BOURLET / http://nv.parkothek.info/article/00000436-des_illumines_au_futuroscope.html

A quelques semaines de la grande première de son nouveau spectacle nocturne, le Futuroscope met les bouchées doubles pour réaménager son lac où seront jouées ses belles histoires tous les soirs. Preuve en est cette installation géante au fond du bassin de 1500 roseaux lumineux reliés entre eux par 12 km de câble, et lestés par 22 tonnes.

C'est le collectif d'artistes français TILT qui est à l'origine de cette oeuvre : "éclairagistes-créateurs", ils font de la lumière une sculpture polymorphe en utilisant de la ferronerie, des matériaux de récupération ou de haute technicité.

image5_miniimage6_mini

Le collectif vient tout juste d'achever le montage de sa mer de lumières au Futuroscope et publie quelques images sur son blog. On y découvre les joies et les peines qui surviennent lors d'une telle installation, et ce de façon plutôt inattendue, sans langue de bois !

image4_miniimage7_mini

Blog : http://tilt-lumiere.blogspot.com/
Site officiel : www.t-i-l-t.com

 

1 février 2009

le mystère de la note bleue en résumé

le_mys10 

 

, à Yves Pépin*. Chaque soir, à la tombée de la nuit, l’immense scène aquatique située au coeur du parc, s’anime pour conter aux visiteurs l’histoire de Mike, le DJ populaire et branché qui affronte DJFX, son homologue virtuel dans un duel musical à la recherche d’un son unique : la note bleue. Décibelle, la petite fée volante, va les guider dans un univers multicolore d’ondes graphiques, de percussions, de glissades sonores. Lasers, images géantes sur écrans d’eau, jets de feux et de lumière composent cette féerie musicale grandiose qui conclut la journée au Futuroscope en apothéose.

 

Chaque soir, à la tombée de la nuit, spectacle inclus dans le prix du billet d’entrée au Futuroscope. Durée : 30 min.

*Une féerie musicale grandiose signée Yves Pépin

Directeur de la société organisatrice d’événements ECA2, Yves Pépin est reconnu mondialement comme concepteur et producteur de divertissements géants, temporaires ou permanents, telles que les cérémonies d’ouverture des Jeux olympiques de Pékin en 2008, la Coupe du monde de football en 1998 ou les Jeux paralympiques d’Athènes en 2004. Yves Pépin a notamment été récompensé, dans la catégorie « spectacle nocturne » par trois Thea Awards (qui récompensent au niveau mondial les plus grands projets menés dans les parcs de loisirs) pour Aquamatrix, à l’exposition universelle de Lisbonne en 1998, pour le ballet pyrotechnique du passage à l’an 2000 à la Tour Eiffel et pour le spectacle ‘El Tajin’ sur le site archéologique de Veracruz au Mexique. C’est la troisième fois que le Futuroscope fait appel à Yves Pépin pour concevoir son spectacle nocturne. Le Lac aux Images en 2000 et Le Miroir d’Uranie en 2002 avaient déjà recueilli un grand succès public.

Le Futuroscope a choisi de confier son nouveau grand spectacle nocturne,

Le Mystère de la Note Bleue

30 janvier 2009

chocs cosmiques en résumé

Chocs_cosmiques

 

 

Confortablement installés dans des fauteuils inclinés, les visiteurs pénètrent au coeur de l’univers, emportés par un spectacle mêlant force et poésie. Les images scientifiques d’une qualité exceptionnelle, produites par les satellites de la NASA, ont été modélisées pour permettre des simulations de phénomènes cosmiques en 3D. Elles sont commentées avec humour par Lorànt Deutsch qui apporte un ton réjouissant à cette expérience accessible à tous.

Aujourd’hui, près de 400 000 objets errent dans le système solaire. Les étoiles, les planètes et les galaxies sont en perpétuel mouvement. La force gravitationnelle agit sur ces corps célestes, les attirant les uns aux autres, jusqu’à provoquer leur collision.

Du passé au futur, propulsés dans la Voie lactée, les visiteurs sont interpellés par les phénomènes naturels qui se déroulent sur le dôme au-dessus de leurs têtes. De la collision de blocs de roche et de glace naît la Lune. De l’impact d’un astéroïde, il y a 65 millions d’années sur notre planète, découle un bouleversement total de la vie sur Terre provoquant l’extinction massive d’espèces vivantes telles que les dinosaures. Dans deux milliards d’années, les scientifiques prévoient que la Voie lactée sera percutée par Andromède pour ne former qu’une seule galaxie. Liés aux origines et à l’évolution de l’univers, ces chocs cosmiques ont créé le passé, affectent le présent et façonnent l’avenir.

Film

Lorànt Deutsch

D’origine hongroise, Lorànt Deutsch grandit à Sablé/Sarthe et rejoint Paris pour faire ses débuts sur scène au théâtre Mouffetard. Puis, il tient pendant cinq ans le rôle de Tom dans la série Les Intrépides. Il tourne de nombreuses publicités, parmi lesquelles Yop et Gervais. En 1998, il entame sa carrière cinéma avec Le Ciel, les oiseaux et... ta mère ! de Djamel Bensalah. En 2005 et 2006, il interprète le rôle de Mozart au théâtre dans Amadeus. En 2006, il incarne Sartre jeune dans le téléfilm Les Amants du Flore et joue ensuite dans la pièce d’Oscar Wilde, L’importance d’être constant. Lorànt Deutsch est passionné par l’Histoire de France et les rues de Paris. C’est aussi un grand amateur de football qu’il pratique encore à haut niveau.produit par l’American Museum of Natural History et diffusé sur un écran hémisphérique de 21 m de diamètre. Durée : 23 min.

29 janvier 2009

le seigneur du ring : dossier

PLAN_sdr

Le_seigneur_du_ring_affiche_1

Présenté en alternance au pavillon des Mondes virtuels  de 2006 à 2008.

LE FILM...

L’acteur virtuel Slim naît sous vos yeux quand le voilà soudain propulsé star d’un hilarant match de boxe. Son adversaire ? Une impressionnante montagne de muscles. Suivez Slim sur le ring et encouragez-le ! Assistez en 3D à un combat explosif au cours duquel tous les chocs visuels sont permis. Slim, remportera-t-il la victoire ? Une expérience dont on ressort K.O !

seigneur_du_ring_1

seigneur_du_ring_2

seigneur_du_ring_3

La salle de l'Imax 3D continuera d'abriter le désormais cultissime film Cyberworld et accueillera les bras ouverts le Seigneur du Ring, projeté en alternance. Cet événement cinématographique nous présente les stars de demain. Produit en animation par ordinateur, ce film 3D nous transporte dans le monde des acteurs virtuels. Deux hôtes comiques, Phil & Maria, nous font assister à la création de Slim, un personnage à la fois naïf et sans peur. Juste au moment où il est prêt pour son gros plan, Slim se retrouve sur un ring dans les années 30 où il devient la star involontaire d’un hilarant match de boxe entre un tout petit homme et une montagne de muscles.

Le_seigneur_du_ring_affiche_2

Crée par la maison de production montréalaise TFX Animation, la bande-annonce de Aventures en Animation 3D -le titre original- a gagné, à elle seul, une dizaine de prix internationaux, dont le prestigieux Clio Award, oscar de la publicité.

BANDE ANNONCE DE "LE SEIGNEUR DU RING"

 


Bande annonce de "Aventures en animation 3D"

 

L'AVIS...

Le film se présente sous deux aspects : le côté "détente" par sa capacité à nous présenter un film de qualité en 3D ou les personnages sont plutôt comiques, et le côté "ludique" et le film nous explique au passage la réalisation des personnages virtuels. C'est donc un bon film mais qui reste assez long et dont ont se lasse à regarder plusieurs fois.

1. Qualité de l'image : très bonne qualité de la 3D, on s'y croirait presque - 1 pt
2.
Effets spéciaux : bien -
1 pt
3.
Musiques : renforce le côté "comique" du film -
1 pt
4.
Action : On rentre parfaitement dans la thématique du parc, qui est de se divertir tout en s'instruisant - 1 pt
5. Les voix : pas trop mal, parfois des côtés un peu "lourd" -
0,5 pt
6.
L'histoire / le sujet : bien qu'il y ai un côté assez drôle du personnage central, tout  le monde n'aime pas la boxe, de plus, après plusieurs visionnages, on se lasse vite - 0,5 pt
7. Les commentaires : bien sans vouloir trop en faire -
1 pt
8.
Effets extérieurs : bien que les lunettes rendent la 3D parfaite, on se croit dans la salle ou a lieu le match de boxe - 0,5 pt
9. Durée : trop long, environ 40 mn - 0 pt
10. Thématisation de l'attraction : heureusement que la thématisation de l'autre film en alternance "Cyberworld" est là, de plus, on fait le rapprochement de la thématisation avec "Les mondes virtuels" étant donné que dans "Le seigneur du ring", on nous explique les secrets de l'animation 3D - 1 pt

NOTE  :    7,5  /  10

Publicité
Publicité
Publicité
Newsletter
29 abonnés
Archives
Publicité