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29 septembre 2010

Le Futuroscope intéresse...

27 Sept 2010 Source : http://www.technopolitain.com/

Le parc côté people
Cet été, le Futuroscope a reçu les dirigeants de Disneyland Paris. Vendredi dernier (24 septembre), ce fut au tour du patron d’Efteling, l’un des plus anciens parcs en Europe sur le thème des contes et légendes, de découvrir le savoir-faire technologique du parc poitevin.

Dans un autre registre, le Futuroscope a ouvert, le lendemain, ses portes aux petits chanteurs à la croix de bois. Ils ont découvert Danse avec les robots et Arthur, l’aventure 4D. 2010, saison de toutes les réussites ? Cela y ressemble...

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29 septembre 2010

Révélations de Dominique Hummel - 2ème partie : un soarin' et des améliorations à Danse avec les robots à venir

Entretien avec Dominique Hummel, président du directoire du Futuroscope - Seconde partie

Article Attractions du Mercredi 29 Septembre 2010


Retrouvez la première partie de cet entretien

Propos recueillis par Pascal Pinteau

Quelles ont été les premières choses que vous avez apprises en arrivant, et les découvertes les plus surprenantes que vous avez faites en relevant ce défi ?

Il y en a un certain nombre. En intuition marketing, j’ai tout de suite pensé que nous avions intérêt à nous adosser à la créativité française, et aux acteurs du monde du divertissement et de l’image de notre pays. Au-delà d’une approche marketing, j’ai cherché des signatures pour cultiver la différence entre le Futuroscope et des parcs comme ceux de Disney. J’ai donc approché des artistes qui avaient envie de travailler avec le Futuroscope. C’est ce qui avait déjà été fait il y a très longtemps avec Jean-Jacques Annaud, lorsqu’il avait réalisé le film LES AILES DU COURAGE pour le Parc. J’ai pris mon bâton de pèlerin et j’ai pu constater que le Parc avait une très bonne image. Ensuite, il a fallu apprendre à travailler avec des artistes, car on ne peut pas fonctionner avec eux comme on le fait avec un prestataire de service auquel vous faites revoir sa copie si cela ne va pas. L’artiste, lui, est dans son œuvre. Vous prenez donc avec lui le risque de l’œuvre. Pas toujours évident d’être en phase…  Luc Besson a été très à l’écoute et a tenu compte de nos indications. Cela n’a pas toujours été le cas.

Ensuite, j’ai tenu à développer l’aspect vivant du parc, car beaucoup de nos attractions étaient basées sur l’image et la technologie. Or le parc ne pouvait être qu’un écrin pour un contenu. Il fallait trouver une vraie ligne éditoriale autour du futur, qui est une thématique sur laquelle nous travaillons toujours. Je crois que toute l’équipe est contente d’être sortie du côté « monoproduit image et Imax ». On ne pouvait pas tout miser sur la technologie pour la technologie. Nous avons donc travaillé en ce sens. A terme, dans les trois ans, cette évolution devrait nous permettre de présenter un tiers d’images à contempler dans leur pur écrin technologique, avec le summum de la qualité, puis un tiers d’images « à vivre » avec le cinéma dynamique, l’interactivité, et puis un tiers de spectacle vivant, comme avec l’attraction « DANSE AVEC LES ROBOTS ».

Quels sont les outils qui vous ont permis de connaître les goûts et les souhaits de votre public, puis d’aller au-devant des visiteurs potentiels qui n’avaient pas encore découvert le parc ?

Nous faisons beaucoup d’enquêtes pour connaître les réactions des visiteurs. Le Futuroscope est l’une des entreprises les mieux structurées sur la connaissance de soi. Ici nous avons trois leviers pour agir : l’attractivité, la satisfaction et le compte d’exploitation. Evidemment les deux premiers se rejoignent dans le troisième, puisqu’ils déterminent ses résultats. Mais il faut savoir analyser tout cela. Comme disait Ford « Si j’avais fait ce que mes clients demandaient, j’aurais construit des calèches avec des chevaux qui avancent plus vite, mais je n’aurais jamais inventé la voiture. » La plupart des innovations sont des ruptures. J’adore cette formule de Tristan Bernard, le grand homme de théâtre, qui disait « Il faut surprendre le public avec ce qu’il attend. » C’est magnifique, parce qu’au-delà du théâtre, cela définit aussi ce qu’est le marketing. Car le public peut vous dire « Ah, bien j’avais envie de cela, mais je n’aurais jamais été capable de le formuler ». Je m’intéresse beaucoup à la sociologie de la consommation. Je milite beaucoup pour ce genre d’études, car il faut que l’on réponde à un besoin sociétal, surtout dans cette période de crise. Il faut que nous arrivions à comprendre et à anticiper les aspirations des gens, car notre visiteur ne nous dira pas quoi faire.

Nous aimerions revenir sur les attractions que vous avez lancées depuis votre arrivée, en vous demandant d’évoquer chaque fois comment l’idée de l’attraction est née, comment vous l’avez réalisée, quelles ont été les difficultés inattendues liées à ces créations et enfin quelles ont été les réactions des visiteurs qui vous ont le plus marquées…

Le fonctionnement que nous avons mis en place, pour compléter ce que je disais précédemment sur la règle des 10/20/60, c’est de faire intervenir une attraction star tous les deux ans, qui va engloutir à elle seule presque l’intégralité des 10% du chiffre d’affaires. Celle-là, c’est la locomotive qui va tirer le parc pendant deux ans, et il faut que l’on puisse communiquer dessus et qu’elle génère une satisfaction importante. Il faut qu’elle nous amène plus de monde et qu’elle rende les visiteurs encore plus heureux d’être venus. C’est ainsi que nous avons fait VOYAGEURS DU CIEL ET DE LA MER en 2004, qui était un investissement de 6,5 millions d’euros. En 2006, c’était DANSE AVEC LES ROBOTS, 7 millions d’euros,  en 2008  LES ANIMAUX DU FUTUR, et en 2009/2010, ce fut ARTHUR L’AVENTURE 4D. A 500 000 euros près, les coûts de ces attractions sont à peu près les mêmes. Après j’ai voulu introduire un deuxième niveau, qui est celui des attractions de reconversion. Il s’agit alors de ne pas refaire le bâtiment, mais de renouveler la technologie ou le contenu. Nous essayons de parvenir à ce but en réalisant des investissements de 2 à 3 millions d’euros. Il y a enfin un troisième niveau, où l’on ne touche ni au bâtiment ni à la technologie, et c’est là que Imax et d’autres fournisseurs nous aident beaucoup. Cette approche nous permet de conserver un rythme de renouvellement perpétuel de 20% du contenu, avec cette triple hiérarchie.

Revenons donc à VOYAGEURS DU CIEL ET DE LA MER…

Le choix de cette attraction s’est fait naturellement, car le tapis magique que vous connaissez bien, en tant que spécialiste de l’image, est un pavillon unique au monde, puisqu’il propose une double projection Imax, devant et sous les pieds des spectateurs qui voient une image sous leurs pieds, au travers d’un sol de verre. J’avoue que pour moi, cette expérience dans son état actuel pose problème, et nous réfléchissons à une solution qui consisterait à retirer les fauteuils de la salle, de manière à obtenir un effet plus proche de SOARING OVER CALIFORNIA (Attraction Disney présentée dans les parcs California Adventure et EPCOT, NDLR.) Malgré cela, c’est un bâtiment qui devenu une des icônes architecturales du parc, mais aussi, au début des années 2000, un des symboles de son non-renouvellement, avec le film dédié aux papillons monarques présenté depuis l’ouverture. Ce bâtiment étant unique, il nous imposait d’initier notre propre production de film, et j’étais convaincu que Jacques Perrin serait le partenaire idéal, car il s’est imposé comme un cinéaste qui est un poète de la nature. J’ai donc entrepris de convaincre tout le monde, y compris Perrin lui-même, qu’il fallait que ce soit lui qui crée le film. Après, il a fallu qu’il découvre le format Imax. Et que nous découvrions sa manière de faire. Perrin lance ses équipes sur un projet, puis il accumule les images. Je dirais que sur le papier, le choix était le bon, mais que le contenu final du film était un peu moins au rendez-vous, parce que cela manque d’histoire. Il faut toujours une histoire…Même dans l’univers pédagogique, c’est la règle universelle. Montaigne disait « Je n’enseigne pas, je raconte ». C’est ce qui explique qu’il y a eu des réactions contrastées autour de cette attraction. Les gens amoureux des grandes images, plutôt plus âgés ont aimé, tandis que les jeunes, évidemment, ne s’y retrouvent pas. Il y a un effet technique à améliorer, car les fauteuils gênent la vision de l’image du dessous, mais nous y travaillons. Il y a donc eu une réponse mitigée sur ce premier acte un peu courageux, qui était tout de même une rupture avec l’axe du Futuroscope ancienne version. Nous voulons nous adresser à la fois à la tête, au corps et au cœur des visiteurs dans chaque attraction, et renouer avec les standards de la profession en matière de sensations. Pour l’étape suivante, je voulais faire un pas de plus dans la sensation, sans passer par l’écran.

C’est ce qui vous a conduit à imaginer DANSE AVEC LES ROBOTS…

Oui, car il fallait trouver une idée de manège, sans que l’on se mette à dire « Tiens, ça y est, ils font des rollercoasters comme tout le monde ! » Et tomber sur ces robots a été une jolie découverte, qui a rapidement convaincu les élus de la région. Nous sortions du monde de l’image pure, même si le grand écran cylindrique qui traverse la salle présente les images de Kamel Ouali et de ses danseurs. Avec les robots,  nous étions dans une thématique nouvelle, cohérente, très « Futuroscopienne » ! Cette attraction a connu d’emblée un fort engouement du public, et s’est imposée dans le Top 3 du parc, où elle est restée depuis. Si c’était à refaire aujourd’hui, je ferais un pavillon plus grand, car on se rend compte aujourd’hui que la capacité est un peu légère, mais on constate aussi que la moitié des gens se contente de regarder ceux qui font l’attraction, et que les observateurs sont aussi contents que ceux qui tentent l’aventure. Dans le futur, nous allons augmenter les effets dans la salle, refaire aussi le pre-show pour lui donner un petit coup de jeune, autour du thème de l’homme « augmenté par le robot ».

28 septembre 2010

Un passage dans Comptoirs du Monde

Un nouveau passage a été ouvert cette année à l'intérieur du restaurant Comptoirs du Monde (anciennement Planète burgers, relooké et rouvert en 2008). Ce nouveau passage permet de rejoindre le bloc sanitaires situé derrière le bâtiment (côté Gyrotour) dont l'accès se fait également par l'extérieur entre l'attraction La citadelle du vertige (prochainement Le 8ème continent : voir catégorie "prochainement"), et la Gyrotour. Par ce passage, un accès est prévu pour pénétrer directement dans la boutique Arrêt sur image, ainsi qu'un accès directement sur l'extérieur.

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Concernant l'organisation interne du restaurant rapide, après la création de la file d'attente au comptoir de service séparée du reste de la salle, celle-ci s'est vue améliorée par l'installation de leds au plafond, au dessus de chaque caisse, ainsi lorsqu'une caisse se libère, la lumière s'allume en vert. Ce système permet de répondre plus efficacement à l'afflux de clients aux heures de pointe.

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26 septembre 2010

Comment le Futuroscope va t-il être partagé ?

25/09/2010 05:33  

Source : http://www.centre-presse.fr

La cession des parts du Futuroscope à la Compagnie des Alpes se précise.
Le principe en a été expliqué hier aux élus de la Vienne.

Le 18 octobre, les élus du conseil général diront si oui ou non ils cèdent 40% des parts du Futuroscope à la Compagnie des Alpes qui prendrait ainsi les commandes du parc en 2012.

Le 18 octobre, le conseil général de la Vienne dira si oui ou non il cède 40% de ses parts du Futuroscope à la Compagnie des Alpes, qui deviendrait ainsi actionnaire majoritaire du parc de loisirs dont il prendrait officiellement les commandes en 2012. Avant de faire le grand saut, les élus ont planché hier matin sur le montage de l'opération. Aujourd'hui, le Département détient 70% des actions du Futuroscope, la Caisse des dépôts et consignations (CDC) en possède 20%, le reste se partage entre Unibail et I-Parks. Demain, le pacte d'actionnaires sera totalement différent. La Département céderait 40% de ses parts à la Compagnie des Alpes et mettrait le reste dans une société d'économie mixte locale patrimoniale intitulée SEML Nouvelle du Futuroscope, dans laquelle elle serait associée à la Caisse des dépôts et à deux collectivités locales: Grand Poitiers et la Communauté d'agglomération du pays châtelleraudais.

Droit de veto

Avec 38% des parts, cette nouvelle entité disposerait d'une minorité de blocage et, surtout, de quatre des onze sièges du conseil de surveillance de la société d'exploitation du Futuroscope, qui lui conféreraient un droit de veto pour les décisions les plus importantes. Le Département compte ainsi garder la mainmise sur des sujets tels que l'entrée au capital d'autres actionnaires, les investissements supérieurs à 6M€, la remise en cause du programme d'investissements et la détermination du nombre de jours d'ouverture du parc fixé à 270 par année civile.
Dans la corbeille, le conseil général s'engage à assurer les investissements du parc pour 2011, à prendre en charge les travaux de réhabilitation de l'Hôtel du Futuroscope et à racheter la société d'exploitation du palais des congrès. Le protocole doit être rediscuté une dernière fois le 29 septembre avec la Compagnie des Alpes. Reste une question: combien cela va-t-il rapporter au Département? On le saura le 18 octobre.

Philippe BONNET

23 septembre 2010

Une interview de Dominique Hummel

Voici un lien pour découvrir la première partie d'une interview exclusive de Dominique Hummel, président du Directoire du Futuroscope. La suite à venir prochainement avec quelques révélations !!

ICI

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18 septembre 2010

Côté Restaurant _ Illico resto Monde des enfants

Voici une présentation du tout nouveau restaurant Illico resto ouvert cette année au Monde des enfants. Placé dans un environnement rouge (peut être trop...), ce nouveau restaurant à la particularité d'être placé au centre du Monde des enfants. 

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L'environnement du restaurant
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La décoration est plutôt réussit dès l'entrée bien qu'elle soit très épurée, contemporaine, elle reste colorée et disign. Un bon point pour ce restaurant : le service comptoir est situé au fond, un peu caché du reste de la salle qui par conséquent est bien organisée (comme par exemple au restaurant Comptoirs du Monde malgré la visibilité des comptoirs et de la file d'attente à l'intérieur de l'espace salle).

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L'entrée

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Le comptoir de service

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Le restaurant bénéficie avant tout d'une terrasse bien agréable couverte, avec des tables colorées adaptées à la taille d'un enfant. A noter également l'originalité de l'escalier en colimasson rejoignant l'allée haute. L'extérieur est aussi desservi par l'Illico resto par un bar aménagé proposant par exemple des glaces.

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Enfin, pour finir, la carte reste très élaborée pour du service rapide puisqu'il s'agit d'un Illico resto. Cependant, c'est le seul à proposer des plats préparés comme :

   saucisses/frites
   Tajine
   Risotto/poulet
   Poisson/légumes
   Salades
   Wraps (box de légumes, pâtes, poisson...)
   en plus des sandwichs, desserts comme parts de tartes, brownie, beignets, glaces, fruits au sirop...

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13 septembre 2010

Boîte à idée : amélioration de la file d'attente Vienne dynamique

Cette idée par d'une constatation simple : la file d'attente extérieure de l'attraction Vienne dynamique +d'effets est beaucoup trop simpliste, sans aucune âme, c'est tout simplement du "parcage" de visiteurs.
Une proposition : refondre la partie extérieure sur le même espace, mais avec un petit bâtiment circulaire conçu avec une suite de salles pour donner à voir aux visiteurs. L'attente paraîtrait alors moins longue tout en améliorant encore la satisfaction des visiteurs sur cette attraction
.

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  1. L'entrée de l'attraction serait conservée par une file extérieure derrière la façade déjà existante. Un bâtiment d'aspect circulaire ferait alors son apparition dans le paysage. L'entrée de ce bâtiment-file d'attente se ferait à la jonction du pavillon de l'attraction. Ce bâtiment aurait des files d'attentes circulaires closes et mises en lumière, divisées en quatre salles thématisées sur le département de la Vienne bien-sûr, mais surtout avec un rapport direct de l'attraction (utilisation de branchages, feuillages, pourquoi pas une reproduction d'une formule 1, ou alors pénétrer dans chaque salle avec un thème différent du film). Dans chaque salle, on pourrait imaginer des animations avec des projections de films ou autres...
    Le visiteur pénètre alors dans quatre salles différentes selon le parcours de la file, puis arrive à la jonction du pavillon de l'attraction pour rentrer dans la pré-salle actuelle.

  2. Au fond du parc, un décor mural ( en orange) composé de fausses constructions en trompe l'oeil serait installé pour cacher la visibilité des parkings, mais l'allée entre le décor et le nouveau bâtiment serait conservée pour l'accès des WC.

  3. Enfin, l'espace vert devant l'attraction serait modifié avec des allées menant à une sortie de secours du nouveau bâtiment-file d'attente, et une végétation dense composerait les parterres.

11 septembre 2010

Finitions du passage Ilusions magiques

Quelques panneaux originaux sont installés pour cacher le toit du bâtiment de l'attraction Illusions magiques, refait à neuf au début de cette année. La façade a été habillé de petits carreaux lui donnant un aspect mobile sous l'influence du vent.

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10 septembre 2010

Nouveauté 2011_ Voyage au coeur du vivant

brochurescolaireExposition plein air
L’étrange rencontre entre Jules Verne et Bernard Werber au carrefour de la science
Cette exposition de plein air met le talent du célèbre auteur Bernard Werber à l’honneur. Soumis à 76 photographies géantes issues de vues scientifiques produites par l’INSERM et de gravures originales de Jules Verne, Bernard Werber s’est prêté au jeu de l’improvisation littéraire pour imposer ses mots et son style à l’ensemble des planches. Un défi qu’il a relevé en quelques heures !

Ainsi, surfant sur des paysages imaginaires, recomposés à partir de vues anatomiques agrandies, la plume de Bernard Werber nous livre un récit improbable et surréaliste. Une exposition surprenante, un voyage au cœur de l’humain. En partenariat avec l’Inserm.

9 septembre 2010

Nouveauté 2011_ Le jardin des arts

brochurescolaireDes oeuvres originales déjà visibles à la Cité du Numérique.

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